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TaurusBiography
Stéphane Desrousseaux est un numismate français né le et mort en à l'âge de 36 ans.
Biographie
Après un passage réussi en classes préparatoires aux grandes écoles (hypokhâgne et khâgne), Stéphane Desrousseaux rejoint Jean Tulard à l'Université de Paris IV-Sorbonne sous la direction duquel il soutient un mémoire de maîtrise et un mémoire de DEA d'Histoire sur la politique monétaire de Napoléon, couronnés chacun par une mention « TB ». Lauréat des bourses d'études de la Fondation Napoléon en 2002 et titulaire en parallèle d'une licence d'administration publique obtenue à l'Université de Paris II Panthéon-Assas, il soutient, en 2007, sous les directions de Jean Tulard et de Jacques-Olivier Boudon, une thèse de doctorat d'Histoire moderne et contemporaine, qui reçoit la mention « très honorable » à l'unanimité des membres du jury. Une grande partie en est publiée en 2012 aux Éditions Les Chevau-légers sous le titre La monnaie en circulation en France sous Napoléon.
Membre correspondant de la Société française de numismatique et secrétaire de l'association « Les Amis du Franc », Stéphane Desrousseaux intègre, en , l'équipe cgb.fr pour occuper le poste de responsable de la boutique « MODERNES » et co-rédacteur de catalogues MODERNES et VSO. Auteur de nombreux articles sur la numismatique française en tant que spécialiste des monnaies modernes françaises et fort de dix années d'expérience en « grading », il est également chef de projet et co-auteur, avec Michel Prieur et Laurent Schmitt, depuis sa 8 édition (2009), de Le Franc, ouvrage de référence sur les monnaies modernes françaises (post-révolutionnaires).
Ouvrages
- Le Franc (8 édition), avec Michel Prieur et Laurent Schmitt,
- Le Franc (9 édition), avec Michel Prieur et Laurent Schmitt,
- Le Franc (10 édition), avec Michel Prieur et Laurent Schmitt,
- Trésors. Mythes et réalités, 2005, avec Arnaud Clairand, Samuel Gouet, Michel Prieur et Laurent Schmitt
- La monnaie en circulation en France sous Napoléon, Paris, éd. Les Chevau-légers, 2012, in 8°, 665 p. (préface de Jean Tulard)