peoplepill id: maurice-mazo
MM
France
3 views today
3 views this week
Maurice Mazo
French artist

Maurice Mazo

The basics

Quick Facts

Intro
French artist
Places
Work field
Gender
Male
Birth
Place of birth
Mostaganem, Algeria
Death
Place of death
Créteil, France
Age
88 years
The details (from wikipedia)

Biography

Maurice Mazo né le à Mostaganem et mort le à Créteil est un peintre et dessinateur français, actif à Paris de 1920 à 1970. Proche de l’école de Paris, il pratique un art figuratif, qu'il défendra toute sa vie contre toute obédience officielle. Ses oeuvres colorées,nourries par un tempérament baroque et empreintes de tradition formelle sont principalement des nus, des natures mortes et des scènes de la vie parisienne. Ses travaux d'après les maîtres composent également une large part de sa production.

Biographie[1],[2]

1901-1919 : Enfance en Algérie et naissance d’une vocation

Maurice Mazo est né le 12 février 1901 à Mostaganem en Algérie. Son père Jean Mazo, commis principal des contributions directes, sera directeur des impôts de la ville d'Oran. Sa mère Marie, née Frèze, est issue d'une famille de cultivateurs provençaux, ayant quitté Tarascon pour l'Algérie dans les années 1880. Maurice Mazo grandit à Oran et à Constantine. Les paysages algériens et la lumière chaude du Maghreb imprégneront son œuvre. La famille du futur peintre témoigne d'une grande sensibilité pour l'art et l'héritage littéraire français. Son père goûte le dessin et s’adonne à l’artisanat du bois. Sa mère pratique le chant. Sa sœur aînée, Martha, est une excellente musicienne. Henri, son aîné de trois ans, montrera un intérêt pour le patrimoine artistique quand il sera maire d'Avignon, puis député de Vaucluse. Maurice, le cadet de la fratrie, reçoit comme son frère et sa soeur une éducation privilégiée.

Sa famille favorise la naissance de sa vocation de dessinateur et de peintre et l’encourage dans sa passion. Dès son plus jeune âge, il peint les paysages qui l’environnent. Faute d’avoir accès aux musées, il copie avec ferveur les portraits des généraux et les tableaux de grands maîtres reproduits dans le magazine L’Illustration. La famille Bellelli de Degas et Les Noces de Cana de Véronèse font partie de ses premières grandes révélations. A 16 ans, il est enchanté par l'immense toile La Joie Rouge de Georges-Antoine Rochegrosse (1859-1938) qui orne le foyer de l’Opéra d’Alger. En 1918, il entre en classe de philosophie au lycée d'Oran. Il se passionne pour la poésie française. Ses préférences vont à Victor Hugo et Charles Baudelaire dont il connait quasiment par coeur Les Fleurs du Mal.

1919-1925 : Arrivée en France, années de formation

Après l'obtention de son baccalauréat (Section philosophie) Maurice Mazo s'installe en octobre 1919 à Paris pour y travailler le dessin et la peinture. ll s'inscrit en février 1920 à l’Académie Julian, dans l'atelier où enseignent les fils de Jean-Paul Laurens, au 31 de la rue du Dragon. Il s'y lie d’une profonde amitié avec le peintre Roger Limouse (1894-1989). Son travail retient l’attention de son professeur Paul-Albert Laurens (1870-1934), mais Maurice Mazo reproche à cet «homme distingué, plein d’esprit » de ne jamais prendre la palette. En octobre 1921 il rejoint l’Académie moderne où enseigne Emile-Othon Friesz. Il fréquente son atelier de la Grande Chaumière. Friesz lui dit que ses dessins le font penser aux dessins de Seurat. Il sera un soutien indéfectible pour Maurice Mazo. Celui-ci lui reproche néanmoins de ne pas suffisamment combattre ses«déformations baroques excessives » et quitte au bout d'un an son enseignement, pour travailler de façon indépendante, à l’Académie libre Colarossi, mais également à l’Académie Julian, où il peut trouver des modèles.

En février 1921, il a obtenu une carte d’accès au musée du Louvre. À partir de ce moment, il ne cessera de travailler d’après les maîtres: Raphaël, Paolo Véronèse, Nicolas Poussin, Pierre-Paul Prud’hon et naturellement Pierre-Paul Rubens auquel il voue une admiration toute particulière. Ces travaux représenteront près de 40 huiles et 1 500 dessins.

Il s'essaie à copier le portrait d’Hélène Fourment et la Mise au Tombeau du Titien à la manière pointilliste. Mais il n'est pas satisfait. C'est alors qu'il décide de se former seul, " je suis absolument soumis aux grands peintres qui nous ont précédés mais je méprise les imbéciles et j'ignore les impuissants. Voilà ma profession de foi", écrit-il à ses parents en mars 1923. Cette prise de distance par rapport à l’enseignement académique relève d'une réflexion plus profonde menée par Maurice Mazo sur la vocation de l'oeuvre picturale. Il ne rejette pas la notion de modernité, mais s’engage dans la découverte, à travers les maîtres, de la plus libre expression de la forme et de la représentation. En 1924, Maurice Mazo loge rue des Dragons.Il rencontre le sculpteur grec Athanase Apartis (1899-1972), qui l’introduit auprès d’Antoine Bourdelle (1861-1929) dont il fréquente l’atelier. Il profite des modèles de la Grande Chaumière car faute de moyens financiers, il ne peut organiser des séances de pose pour lui seul. En 1925, à l’occasion d’une exposition à la Galerie Rosenberg, il est impressionné par les dessins néo-pompéiens de Picasso. Waldemar Georges, conservateur au département des dessins au Musée du Louvre, soulignera la similarité entre les dessins de Maurice Mazo et ceux du peintre espagnol.

1926-1930 : Service militaire et mise en place du « travail de mémoire »

En 1926-1927, Maurice Mazo effectue son service militaire de dix-huit mois à Vincennes dans l’artillerie. Puis il séjourne 10 mois en Algérie chez ses parents. Ce sera son dernier voyage sur sa terre natale. À son retour dans la capitale française, il inaugure une nouvelle forme de travail plus personnelle : « le travail de mémoire », c’est-à-dire la restitution de souvenirs, ou de fragments d’œuvres copiées, à partir d’un travail d’imagination. A l’instar de Marcel Proust, dont il découvre la démarche, il s'applique à laisser surgir la forme dans un élan involontaire, spontané et immédiat. Ainsi, puisque ce n’est plus le sujet qui prime, mais la puissance créatrice, les mêmes thèmes sont convoqués de manière récurrente : les scènes d’intérieur ou d’atelier, les scènes bibliques, mythologiques ou religieuses, les scènes dans un parc.

En 1928, à l’Académie Scandinave, Maurice Mazo retrouve Émile-Othon Friesz, qui s’intéresse au travail du peintre Francis Gruber (1912-1948).

1931-1939 : Expérimentations techniques et écrits sur l’art

Les parents de Maurice Mazo reviennent en France en 1931 et s’installent rue des Morillons. Ce retour met fin aux ‘Lettres de jeunesse' (1919-1929) qui, jusqu'alors, rendaient compte de son travail et de ses réflexions personnelles. C'est à partir de cette époque qu'il débute la rédaction de son journal, cahier rempli d'anecdotes quotidiennes qui ponctuent et rythment la vie de l'artiste. Il poursuivit ce travail de rédaction jusqu'à sa mort.

Il occupe un atelier à la Ruche. Dans ce foyer d’émulation artistique, il côtoie notamment les peintres Takanori Oguiss, Louis Neillot, Isaac Dobrinsky ou encore les sculpteurs Marcel Damboise, Louis Dideron. Le début des années trente sera marqué par une forte production artistique. Il poursuit ses copies au Louvre d'après les maîtres et arpente les rues de Paris et ses jardins pour mettre sur toile et sur papier le paysage urbain et les promeneurs parisiens.

Comme l'écrira plus tard le critique Pierre du Colombier, il trouve «  son chemin de Damas dans la nature morte. Elle a été pour lui une discipline dont il reconnaît la bienfaisance. Il sait fort bien qu'il oscille sans cesse entre deux pôles et qu'il faut un contre poids à sa fougue baroque. Or la nature morte l'oblige à serrer sa composition, à observer la nature au lieu de l'observer en consultant sa seule mémoire. Il se voit contraint à tenir compte des couleurs locales des objets, de leurs réactions réciproques, de l'harmonie générale du tableau. Aujourd'hui encore c'est dans ses natures mortes que l'on trouve ses réussites les plus complètes ».

En 1933, il rencontre au musée du Louvre le chimiste Jacques Maroger, futur directeur du laboratoire du musée du Louvre, dont les recherches portent sur les secrets des médiums utilisés par les peintres de la Renaissance. Cette rencontre inaugure une nouvelle étape dans son parcours artistique, puisque Maurice Mazo expérimente les préparations élaborées par Jacques Maroger dans ses études. Par exemple, il copie en 1936 les Rameuses de Rubens et La Majorité de Louis XIII avec des médiums confiés par Maroger. Ces recherches l'amènent à rencontrer à deux reprises Matisse qui se montre curieux de ces travaux sur la couleur. Il rencontre également le sculpteur Charles Despiau à qui il montre ses dessins.

En 1936, Maurice Mazo quitte la Ruche pour un atelier rue Rousselet (Paris, 7ème arrondissement). Il publie sur Rubens (« La leçon de Rubens » dans la revue l’Art sacré) et sur Cézanne (« Cézanne » dans le Goéland). Ces textes sont les premiers d’une longue série (« Gros et le drame de l’expression » dans la revue l’Art sacré en 1937 ; « Degas et M. Lhote » dans le Goéland en 1939). Ce travail littéraire l'amène à rencontrer le duc de Trévise, célèbre collectionneur qui possède entre autres deux œuvres de Théodore Géricault : Le Cheval effrayé par l’orage (aujourd’hui à la National Gallery à Londres) et La Folle (aujourd’hui au Musée du Louvre à Paris). Par son intermédiaire, il rencontre l’historien Bernard Berenson et le marchand Georges Wildenstein. Il expose pour la première fois à la veille de la guerre au Petit Palais avec les Artistes de ce temps, aux côtés de Paul Colin (1892-1985), Démétrius Galanis (1879-1966) et Michel Kikoïne (1892-1968).

1940-1945 : Les années de guerrePremières expositionsPendant la guerre il continue d'exposer : en 1941, sa participation au Salon d’Automne est favorablement accueillie par Pierre du Colombier (1889-1975). Ce dernier compare ses dessins à ceux de St-Aubin. En 1942, il participe au premier Salon du dessin et de la peinture à l’eau pour lequel il compose des affiches. Il y exposera régulièrement. Waldemar Georges rédige une plaquette sur son œuvre dessinée. Maurice Chabanon lui propose d’exposer dans sa Galerie rue des Saints-Pères. Il y exposera régulièrement jusqu’à sa fermeture, en 1949. L'année suivante, en 1943, il participe pour la première fois au Salon des Indépendants, dont il deviendra le vice-président en 1965. Son père décède la même année.

Ces expositions fréquentes donneront l’occasion aux critiques d'art de s’exprimer sur le travail de l’artiste : Georges Waldemar rédige une plaquette sur les dessins de l’artiste, Florent Fels le compare en 1946 aux maniéristes allemands du XVIème siècle. Il peint en 1947 le portrait de sa mère. Les années d'après-guerre et ses ventes plus régulières et ses activités à l’étranger lui permettent de voyager. Il séjourne ainsi en Belgique et en Hollande en 1947 et 1949 et visite Florence, Venise et Rome en 1948. Il voyage en Allemagne en 1951.

1945-1965 : Les années fastes - Enseignement et intense production

Au sortir de la guerre, Othon Friesz, malade, propose à Maurice Mazo dele remplacer pour enseigner à la Grande Chaumière. Il y fait la connaissance d'André Barrère. En 1950, un anaprès la mort du vieux professeur en 1949, Maurice Mazo arrêtera son enseignement ; mais il donnera des leçons privées dès 1952. Parallèlement à ces leçons, Maurice Mazo tient des conférences à partir de 1945 : il en donne une à la Sorbonne en 1956 à la demande du professeur Etienne Souriau sur « Cézanne et le cubisme». Il en donne chaque mois pendant 10 ans à partir de 1958 au Foyer de Montparnasse de Marc Vaux. Son auditoire se compose majoritairement d’intellectuels et de confrères.

Maurice Mazo se fait un fervent défenseur d’une forme libre de l’Art indépendant, occultée par les milieux officiels qui soutiennent les mouvements abstraits et expérimentaux. Il publie dans la revue Le Peintre une critique de La Psychologie de l’Art d’André Malraux. C’est par l’intermédiaire de son frère Henri que Maurice Mazo écrira à partir de 1950 à Malraux, alors Ministre de la culture. Il échangeront quelques lettres sur la nécessité, revendiquée par Maurice Mazo, de "la défense et du maintien d'une tradition artistique". A côté de ses enseignements il expose sporadiquement : à la galerie Ex-Libris à Bruxelles en 1949, des lithographies à la galerie Urban à Montparnasse en 1951. Il fait l’objet d’une exposition particulière à la galerie Weil avenue Matignon à Paris en 1953. Il y rencontre l’ancien président du Conseil et grand collectionneur Albert Sarraut (1872-1962). La même année il envoie une nature morte à la deuxième Biennale de Tokyo ; cette toile sera acquise par les Japonais. Il expose à la galerie Chardin à Paris en 1955, à la galerie « la Chimère » en Provence en 1958, à la galerie Dauphine à Paris en 1958 également, et à la galerie Rouff à Nice en 1962.

Hors des frontières, il expose en 1961 à la galerie Georgie Lee à New-York et participe à la biennale de Barcelone en 1963.I l effectue d'autres voyages en Europe et admire les toiles des grand maîtres dans les musées. Il retourne en Belgique et en Hollande en 1962.

1966-1989 : Retraite à Nogent-sur-Marne et poursuite de la transmission

Les années 1960 sont obscurcies par la mort de sa mère et de sa sœur qu’il perd respectivement en 1960 et 1966. Il en sera profondément affecté. Sa santé devint fragile (il développe une tachycardie) et il connait des difficultés financières. Il se rend à Londres en 1966 et 1973, en Italie à nouveau en 1967 et il découvre Moscou et Saint-Pétersbourg en 1970.Mais cela fait naître une nouvelle phase de fécondité puisqu’à partir de 1966, il obtient suffisamment de crédits et devient pensionnaire à la Maison des artistes de Nogent-sur-Marne. Il s'investit davantage dans les comités dont il est membre. En 1965, il devient vice-président du Salon des Indépendants, il est élu au Comité du dessin en 1971. Un an plus tard il pose pour Pierre-Miguel qui réalise son buste. En 1973, il donne une conférence sur Eugène Delacroix et Victor Hugo à l’université de Cambridge (Royaume-Uni) et une autre en 1974 à Nogent-sur-Marne sur Théodore Géricault. Il reçoit quelques élèves qu'il forme et encourage.

A partir de 1980, Maurice Mazo reçoit plusieurs hommages : en 1980, une rétrospective lui est consacrée à la Maison des artistes de Nogent-sur-Marne, dans laquelle sont présentées de nombreuses natures mortes composées (au crâne de Cheval, à l’armure), quelques paysages et le portrait de sa mère. Jean Carton et un groupe de jeunes artistes lui rendent hommage la même année à l'Hôtel Lutetia. En 1982 une médaille est gravée à son effigie à la Monnaie de Paris. Une rétrospective de son oeuvre est organisée à la Galerie Rose-Croix à Paris en 1984. Malgré les honneurs, il s’isole pour répondre à sa « fureur de dessiner ». Il continue de donner des conférences à la Maison des artistes et y expose encore en 1982 et en 1987.

Il meurt le 8 mai 1989 à l'hôpital Henri-Mondor à Créteil et laisse à sa nièce près de 700 huiles et des milliers de dessins.

Expositions et hommages posthumes

Depuis sa mortson oeuvre a fait l'objet de diverses rétrospectives.

Le Salon du dessin et de la peinture à l’eau lui rend un hommage en 1990, le Salon des Indépendants en 1991.

En 1995 la mairie du 7e arrondissement de Paris accueille l'exposition de dessins La vie à Paris,scènes de rues et d’ateliers , avec un texte majeur du critique Patrice Dubois.

En 1996, la totalité de son œuvre lithographique entre à la Bibliothèque nationale de France.

Plusieurs expositions voient le jour autour du millénaire : en 1999 à la Fondation nationale des Arts graphiques et plastiques en 1999, rue Berryer (Paris, 8ème arrondissement); en 2001 au Centre d’Art Présence Van Gogh à Saint-Rémy-de-Provence ; en 2002 l'exposition Femmes,inspiratrices et muses à la Galerie Francis Barlier (Paris, 8e arrondissement) et une exposition à la Galerie Black à Lausanne, en 2004, à l’espace Bonnard au Cannet.

De 2005 à 2006 une exposition rétrospective itinéranteest présentée à Poitiers (musée Sainte-Croix), Niort (musée du Donjon), Beauvais (musée départemental de l’Oise) et Boulogne-Billancourt (musée des Années Trente).

Collections publiques

  • Bar-le-Duc, Préfecture de la Meuse - Fleurs, 1939, huile sur toile
  • Beauvais, Musée de l'Oise - 19 oeuvres, de 1932 à 1948
  • Boulogne-Billancourt, Musée des années 30 - 19 oeuvres, de 1932 à 1976
  • Châteauroux, Préfecture de l'Indre - Paysage, 1942, huile sur toile
  • La Défense, Centre national des arts plastiques - Le couple, 1947, encre de Chine - Le Sommeil, 1964, encre de Chine et sépia sur vélin - Sans titre, 1964, encre de Chine et sépia
  • Narbonne, Palais des archevêques - Le Jugement de Pâris, encre - Écho et Narcisse, encre et lavis
  • Niort, Musée Bernard d'Agisci - 19 oeuvres, de 1932 à 1979
  • Nogent-sur-marne, Maison nationale des artistes - Nature morte à la Pastèque, 1954, huile sur toile - Nature morte au coquillage, 1959, huile sur toile - Nature morte aux légumes, 1935, huile sur toile
  • Paris, Bibliothèque national de France - 9 estampes
  • Paris, Préfecture de police – Bacchanales, dessin,1958
  • Poitiers, Musée Sainte-Croix - 21 oeuvres, de 1932 à 1965
  • Quimper, Musée des Beaux-Arts - Jugement de Paris, 1970, encre et brou de noix - Diane endormie, 1968, encre, lavis de brou de noix et aquarelle -Faune et Nymphe, 1970, encre et brou de noix - Modèle devant le peintre, 1946, encre
  • Roubaix, La Piscine - Musée d'art et d'industrie André Diligent - 18 oeuvres, de 1931 à 1952
  • Trouville-sur-Mer, Musée Villa Montebello - Europe et le taureau, 1970, encre de Chine, 33 x 48 cm - Personnages dans un jardin, 1939, encre sépia et encre de Chine - Femme repoussant un faune, lavis d’encre sépia et d’encre de Chine

Bibliographie

Plusieurs articles lui sont consacrés de son vivant : « Dessin et peinture à l’eau » par Georges Hilaire (1970, dans Valeurs actuelles) ; « Maurice Mazo ou les métamorphoses de la fable et de la forme » par Patrice Dubois (1981, revue Anti-Seul), des articles dans le Magazine hebdo lors de ses diverses dernières expositions, plusieurs articles par Patrice Dubois.

  • Le manuscrit du Journal (1939-1989) de Maurice Mazo est conservé à l’Institut National d’Histoire de l’Art à Paris.
  • Florent FELS, « Les arts à Paris », journal non identifié, 1945.
  • George WALDEMAR (préface), « Les dessins de Mazo », Maurice Mazo, catalogue d’exposition, Paris, Galerie Chabanon, 1945.
  • Pierre du COLOMBIER, La revue française, n°1 ou 2, 1947.
  • René BAROTTE, « Le peintre Mazo », La Seine, 16 février 1948.
  • André WARNOD, « Le courrier des arts », Le Figaro, 28 février 1948.
  • Urbain VAN DE VOORDE, « Maurice à la Galerie Ex-Libris », De Standaart (Bruxelles), 1949.
  • Pierre du COLOMBIER, « Maurice Mazo », Journal de l’amateur d’art, 25 février 1952.
  • Jean CHABANON, Le peintre, 15 juin 1958, p.8.
  • Marcel ZAHAR Marcel et F.H. LEM, « Maurice Mazo dessinateur », Maurice Mazo, catalogue d’exposition, New York, Galerie Georgie Lehe, 1961.
  • Emmanuel BÉNÉZIT, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, vol. IX, Paris, éd. Gründ (reprise dans l’édition de 1975, mais modifiée dans celle de 1999), 1961.
  • Georges HILAIRE, « Dessin et peinture à l’eau », in Valeurs actuelles, 19 octobre 1970, p.62-63.
  • Patrice DUBOIS, « Maurice Mazo ou les métamorphoses de la fable et de la forme », Anti-Seul, 1981, p. 6-8.
  • Patrice DUBOIS, « Maurice Mazo », Club français de la Médaille, 1er trimestre 1983, n°78/79, p. 58-63.
  • Franck JOHNSON, The Times Monday, 9 juillet 1984.
  • Michel MARMIN, « Maurice Mazo à la crête de la peinture occidentale », Magazine hebdo, n°29, 30 mars 1984.
  • Encyclopédie AZ, éd. Atlas, vol. XVII, pp. 542-543 (notice biographique par Patrice Dubois), 1988.
  • Pierre EYCHART, L’Humanité, 3 juin 1989.
  • Marie-Laurence GAUDRAT (préface), Maurice Mazo, Paris, éd. Garamond, 1991.
  • Gérald SCHURR, Le Guidargus de la peinture, p.708, 1992.
  • Elizabeth CAZENAVE, « Maurice Mazo 1901-1989 », L’Algérianiste, n°76., 1996
  • Lydia HARAMBOURG, La Gazette de l’Hôtel Drouot, n°38, 28 octobre 1999.
  • Emmanuel BRÉON, « À contre-courant » et Michel Marmin, « Un peintre panique », catalogue d’exposition, Saint-Rémy-de-Provence, Centre d’Art Présence Van Gogh, 2001.
  • Jeremy COOPER et Maurice MAZO, La beauté est une victoire, correspondance (1970-1989) établie, annotée, et présentée par Jacques Mougenot, éd. E-dite, 2001.
  • Lydia HARAMBOURG, « Maurice Mazo », La Gazette de l’Hôtel Drouot, n°26, 2001.
  • Élizabeth CAZENAVE, « Les artistes de l’Algérie », Dictionnaire des peintres, sculpteurs, graveurs, 1930-1962, notice sur Mazo, 2001 p. 331 (reproduction).
  • Lydia HARAMBOURG, La Gazette de l’Hôtel Drouot, n°26, 2002.
  • Jean-Claude YVETOT, L’Art face à sa destruction, Écrits et entretiens avec Maurice Mazo, éd. E-dite, 2005.
  • Maurice Mazo, catalogue d’exposition, Poitiers, musée Sainte-Croix, 20 mai - 18 septembre 2005 ; Niort, musée du Donjon, 10 novembre 2005 - 23 janvier 2006, Beauvais, musée départemental de l’Oise, 8 mars - 30 avril 2006 ; Boulogne-Billancourt, musée des Années Trente, juin - août 2006, Somogy, Paris, 2005.
  • Maurice Mazo 1901-1989 une donation, catalogue d’exposition, Roubaix, La Piscine – musée d’art et d’industrie André Diligent, 16 juin - 16 septembre 2007, éd. La Piscine - musée d’art et d’industrie André Diligent, Roubaix, 2007.
  • Portail de la peinture
The contents of this page are sourced from Wikipedia article. The contents are available under the CC BY-SA 4.0 license.
Lists
Maurice Mazo is in following lists
comments so far.
Comments
From our partners
Sponsored
Credits
References and sources
Maurice Mazo
arrow-left arrow-right instagram whatsapp myspace quora soundcloud spotify tumblr vk website youtube pandora tunein iheart itunes