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Hungary
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Franyó Aatoth
Hungarian painter

Franyó Aatoth

The basics

Quick Facts

Intro
Hungarian painter
A.K.A.
István Ferenc Tóth
Places
Work field
Gender
Male
Place of birth
Nyíregyháza, Szabolcs-Szatmár-Bereg County, Hungary
Age
70 years
Franyó Aatoth
The details (from wikipedia)

Biography

Franyo Aatoth (Tóth István Ferenc), né à Nyíregyháza (Hongrie) le , est un peintre hongrois.

Biographie

Il commence à peindre à l’âge de seize ans. Très jeune par l’intermédiaire de son ami d’enfance Román Péter (King of Bass) il participe à la performance de Szabados György (hu). Il peint sur scène, inspiré par le compositeur d'avant-garde accompagné de Vajda Sándor et Faragó «Kázmér» Antal. Pour la deuxième partie, Szabados György interprète le visuel de franyo aatoth (Budapest, Kapás utca 1974). À la suite de ces études d’arts plastiques à l’école Dési-Huber dirigé par Tamás Ervin, il rencontre son ami sculpteur Mata Attila. Peu de temps après il fait connaissance avec Borsos Miklós (hu), qui lui enseigne la création des médailles. Il présente ses œuvres dans quelques expositions individuelles.

En 1978 il quitte la Hongrie en auto-stop et s’installe à Paris. Il fait connaissance avec Victor Vasarely et son fils Yvaral, devient leurs ami proche et aidé par Vasarely et son ami Patrick Alton il suit ses études à l’ENSBA de Paris dans l’atelier de Abraham Hadad, où il obtient son diplôme d’arts plastiques. Pendant ses années d’études il devient l’assistant de Ervin Patkaï. Il aide Patkaï à réaliser quelques de ses sculptures monumentales (Saint Quentin en Yvelines, Marne la Vallée, etc.) Franyo aatoth s’installe dans son premier atelier de l’Avenue Président Wilson à La Plaine Saint Denis. C’est un squat où il rencontres des peintres colombiens comme Gustavo Vejarano qui occupe avec d’autres artistes colombiens l’étage supérieur de ce bâtiment destiné à la démolition. Il rencontre le sculpteur Pierre Székely et travail avec lui pour réaliser des lithographies. Par l’intermédiaire de Székely il commence à travailler avec le Musée de la Monnaie de Paris et réalise plusieurs médailles. Il reçoit le troisième prix de FIDEM de Colorado Springs avec sa série «Estampes corporels». Il crée une médaille commémorative pour l’Université de Harvard. Il expose à Paris en participant à des salons comme La Jeune Peinture, Grands et Jeunes d’Aujourd’hui... puis il présente ses œuvres à l’occasion de ses premières expositions individuelles à la Fondation Deutsch de la Meurthe de Paris en 1980.

Comme réfugié politique il ne retourne pas dans son pays d'origine, la Hongrie, sa terre natale pendant une dizaine d’années. En 1985 il s’installe dans le Val-d'Oise. Dans son atelier à Ermont où il rencontre des artistes comme Toyo Shinohara, Kazumi Hiassa, Mario Ossaba et le cinéaste Mohammed Seif. Il participe à plusieurs expositions avec eux. Son ami Patrick Leveque lui propose le nom «Aatoth» à la fin d’une nuit de méditation profondément cannebienne. À la suite de la disparition tragique de Patrick Leveque il garde ce nom en mémoire de son ami. À cette époque il rencontre Philippe Coll de Vives le célèbre critique d’art qui écrit plusieurs textes pour ses catalogues en français et en "syldave tantrique". «It was the begining of a beautiful friendship»... En 1989 il participe au projet de l’UNESCO «La route de la Soie». Sous l’égide de l’UNESCO il organise une exposition intercontinental (Art of Walking) Dans ce projet complètement farfelu - l’idée initiale est venue d’une soirée bien arrosée en jouant au jeu stratégique RISK. Pendant la soirée l’artiste ayant perdu la Mongolie décide de la «reconquérir» d’une façon artistique. L’organisation mondiale, les municipalités, les ministères de la culture viennent à son aide. Le catalogue de l’exposition a été signé par deux ministres de la culture (Jack Lang et Nambaryn Enkhbayar). Il rencontre la cinéaste Marie-Jaoul de Poncheville et lie une amitié sincère avec elle. Il fait voyager et exposer une trentaine d’artistes entre l’occident et l’extrême-orient et les fait exposer au Palais de l’UNESCO à Paris et à la Galerie Nationale de Ulaan Baatar. Les artistes mongoles participants à cet événement constituent le noyau de l’avant-garde mongole ( Do Bold, Sarantsatsralt, les artistes de la société «Green Horse» ). En voyageant en Mongolie il fraternise très vite avec la vie des nomades des steppes. Il retrouve ses origines ancestrales en découvrant ces «grands espaces», l’infini des temps différencié par des cultures. Le temps «minuté» des occidentaux mesuré par les jours et les nuits, les saisons dans la culture des habitants de la nature.

En 1993 il obtient un atelier à Neuilly sur Seine. À cette époque il commence sa «période rouge». Une peinture narrative avec les fonds rouges omniprésents il raconte les actualités avec un humour profondément sarcastique. Sa période avec des chevaux qui traversent l’espace de ses toiles, venant de nulle part et sortant vers l’infini, espérant de trouver l’abreuvoir mythique, l’eau, la source de toutes sortes des vies terrestre. Au bout de trois ans il quitte l’atelier de Neuilly. La ville organise une exposition individuelle au Musée Arturo Lopez. Il se lie d’amitié avec Alberto Ramirez, Yvan Alyskewicz et José Keravis. Avec ces deux derniers il organise une exposition d’aventure au Musée de Lénine de Kiev. (le plus grand Musée Lenine de l’Union Soviétique, un immense bâtiment néoclassique de style «bréjnevien» sur le boulevard Khreschatyk) Le moment de leur arrivée correspond avec la dissolution de l’Union Soviétique. L’Ukraine devient indépendante et les artistes se retrouvent dans un musée Lénine avec Lénine décapité et mis en boîte par la nouvelle direction. Le bâtiment devient la Galerie Nationale de Kiev. À la suite de cette exposition les artistes obtientent «l'ordre de Lénine posthume» pendant une soirée de beuverie.

En retournant à Budapest, il rencontre le galeriste Szalóky Károly qui devient son représentant en Hongrie et son ami. Ils organisent plusieurs d’expositions individuelles au sein de la Galerie Várfok, la première galerie privée au moment du changement du régime en 1990. Il se lie d’amitié avec des artistes hongrois, comme Tamás Szikora, István Nádler Rudolf Pacsika. Tamás Szikora vient à Paris à plusieurs reprises, ils deviendront des amis très proches comme László feLugossy (hu) qui le rencontre au bout de plusieurs années de contacts téléphoniques. Ces longues conversations aboutiront à une exposition à Tolcsva chez leurs ami commun Pascal Lehman. Avec László feLugossy ils réalisent plusieurs éditions communes.

Il continue ses voyages en Asie, plus particulièrement en Chine. En rencontrant des difficultés communicatives, il décide de faire des études de mandarin. La culture des Hans apparaissent de plus en plus dans son œuvre picturale. Il crée les films publicitaire avec l’agence de communication AART dirigé par son ami Ludwik Berezowski. Une commande de la chaîne de télévision 5e - ARTE - une trentaine de films d’animation en trente langues. Le premier et probablement unique jingle publicitaire en langue romani ou inouits... Il crée l’annonce du troisième millénaire en vingt quatre langues synchronisées avec les fuseaux horaires. Il rencontre le chanteur poète Bertrand Cantat. À la demande de groupe Noir Désir il réalise des visuels pour l’édition de l’album «des visages des figures». L’image opté par le groupe ( «les nouveaux cow-boys» ) devient l’emblème de dernier album Noir Désir. Il devient ami avec Bertrand Cantat et lui fait découvrir la Mongolie en voyageant ensemble avec le photographe Gyula Zaránd.

Il participe avec Rudolf Pacsika au Festival du Vent en Corse. C’est ici qu'il écrit son dictionnaire de l’alcoolo voyageur en quatorze langues. Une livre de dialogues planétaires pour les piliers de bars internationaux édité à plusieurs reprises en Hongrie, Roumanie, Biélorussie, Syldavie et en France bien sûre ( Le petit ivre rouge).

Pour rendre visite à son meilleur ami d’adolescence il part en Thaïlande pour le rencontrer avant son départ. Il s'attache avec ce pays et par l'intermédiaire de son ami Bors Ganda, il commence à travailler dans un orphelinat au nord de la Thaïlande qui accueille les enfants réfugiés Karen de Birmanie.

Il rencontre Areeretaana qui patronne cet orphelinat et par la suite décide de s’installer dans la forêt Thaïlandaise dans un centre de méditation. Il fait construire un atelier pour travailler dans la nature.

Expositions individuelles

(sélection)

2012 Galerie Keller - Paris La ville de Saint Ouen l'Aumône Várfok Galéria XO hall - Budapest 2011 Art Museum - Guangzhou Academy of Fine Arts - Canton, China Documentary of Grace Qiu GZTV on YouTube Maison de l'Europe - Bordeaux Galerie Vent d'Est - Bordeaux

2010 Let me paint ! performance - Keller Gallery - Paris 9/10/10 Tallinn / Hungarian Institut - Estonia Tokaj / Zempléni Fesztivál - Hungary Galerie Keller - Paris Várfok Galéria XO terem - Budapest

2009 La Maison Folie de Moulins - Lille / France Várfok Galéria Várfok terem - Budapest

2008 Galerie PINXIT - Vichy Várfok Galéria XO terem - Budapest Galerie Vent d'Est - Bordeaux Müvészetek Háza (Art Hall) - Miskolc

2007 Le Quai - Angers - France Moldovay Gyözö Galéria - Hatvan - Hungary Flatfile Galleries - Chicago

2006 Körzögyár - Budapest Opéra de Bordeaux - Bordeaux Várfok Galéria - Budapest Documentary on Youtube Galerie Arnizault - Guerlain - Paris Bertry - Salle des Fêtes

2005 Comédie de Reims - Reim Quais des Arts - Bordeaux

2004 Várfok Galéria XO terem - Budapest Institut Hongrois de Paris Öskaján - Tolcsva Szatmári Múzeum - Matészalka

2003 Várfok Galéria XO terem - Budapest Galerie Saint Clar - Sarlat

2002 Galerie Saint Clar - Sarlat

2001 Espace Ecureuil-Marseille

2000 Musée Szatmár - Màtészalka / Hongrie Astrolabe - Orléans

1999 Théâtre Romain Rolland Villejuif Institut Hongrois de Paris

1998 Palais de l’UNESCO - Paris

1997 Galerie Hélène de Roquefeuil - Paris Institut Français - Budapest

1996 Musée Arturo Lopez

1995 Hôpital de Neuilly sur Seine Musée Lenine de Kiev - Kiev / Ukraïne

1994 Galerie Hélène de Roquefeuil - Paris Génie de la Bastille - Paris

1993 Galerie Hélène de Roquefeuil - Paris

1992 Galerie Hélène de Roquefeuil - Paris

1991 Galerie Hélène de Roquefeuil - Paris

1990 Recherches nonfiguratives - St Denis

1989 Galerie Agnés Stacke - Auvers sur Oise

1988 Anaïs Gallery - München

1986 Galerie Ecume - Paris Antoine Haveloose Gallery - New York Atelier des Maîtres - Paris

1984 Anaïs Gallery - München Fondation Georges Cziffra - Senlis

1983 Atelier des Maîtres - Paris

1981 Fondation Deutsche de la Meurthe - Paris

1976 KFKI Klub Budapest Marczibànyi tér - Budapest

1974 Vizivàrosi Pince Klub Budapest

Notes et références

Liens externes

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