Oumar Sall

Oumar Sall (né à Kolda, Sénégal) est un auteur .

• Directeur Adjoint au Start-Up Studio Nelam Services (Marketing Digital et Prod.)
• Sociétaire Senior à l'Ecole des Sciences Sociales Appliquées en Basse Casamance (ESSABC) : Ecole-Musée de l'immatériel (www.essabc.com)
• Membre fondateur de plusieurs initiatives de fédérations (type network) aussi bien au Sénégal, en Afrique que dans le reste du monde.
• Membre du Groupe National Sénégal pour la rédaction du Rapport Quadriennal de la Convention 2005 Unesco sur la Diversité des Expressions culturelles depuis 2018
• Enseignant à l'Université Gaston Berger *UFR Civilisation, Religion, Art et Communication (CRAC) *Section "Métiers des Arts et de la Culture" *depuis 2014
• Formateurà l'Institut Supérieur de Management (Licence Professionnelle et Master Art & Culture)
• Ancien Secrétaire Général du réseau Arterial Network pour l'Afrique de l'Ouest (www.arterialnetwork.org);
• Coordonnateur du Comité Scientifique de la 2 Conférence sur l'économie créative en Afrique (Arterial/Adafest *Dakar 2012) ;
• Membre du Comité de rédaction du Sostnuto TOME 2 "CULTURES & INNOVATION : L'EUROPE VUE DU SUD" (2011) ; (http://www.irma.asso.fr/IMG/pdf/sost-2-fr-p-intcouv.pdf)
• Membre du Comité de rédaction du projet de loi portant statut de l'artiste et des professionnels de la culture au Sénégal ;
• Coordonnateur de l'étude sur la fiscalité du secteur artistique et culturel au Sénégal, en vue de la réforme du Code Général des Impôts au Sénégal ;
• Membre du Comité de rédaction de l’étude « Politique audiovisuelle au Sénégal » ; en prélude à la prochaine libération des biens et services culturels dans le cadre des futures négociations de l’Organisation Mondiale du Commerce (2007) ;
• Membre du Consortium bénéficiaire du marché d'assistance technique auprès du Secrétariat ACP pour le programme ACP CULTURES ;
• Membre du Consortium bénéficiaire du marché d'assistance technique auprès du Gouvernement de la République du Bénin (PROJET: EuropeAid/127606/D/SER/BJ Programme Société Civile et Culture (PSCC) au Bénin) ;
• Secrétaire Exécutif de l'Association des Diffuseurs Artistiques et Festivals du Sénégal (Adafest) ;
• Membre de l’Observatoire Internationale sur les Politiques Culturelles mis en place par l’Unesco à la suite de la rencontre de Hanovre en 2000 organisée par le Patrimoine Canadien et le Gouvernement suédois ;
• Président du Jury "Photographie" aux premiers Jeux de la CENSAD à Niamey en 2008 ;
• Expert associé et membre fondateur de la Concertation pour une Action Culturelle en Afrique de l’Ouest (CACAO) mise en place à Porto Novo au Bénin en 2003 par des opérateurs culturels issus de la société civile ;
• Membre du Conseil d’Administration de CulturesFrance (Ministère Français des Affaires Étrangères ; programme Afrique en Créations)
• Expert Associé au Colloque sur les statistiques culturelles. la rencontre faisait état, du point de vue des politiques culturelles, de la manière dont les données sur la culture sont converties en statistiques puis en éléments de signification. L’accent a été mis sur la façon dont l’information doit être utilisée dans les décisions concernant les politiques culturelles (voir site web www.uis.unesco.org)

Il est critique et réalisateur de films documentaires ("Paroles d'enfants" Mangui Film Productions ; Assistant réalisateur dans le film "Mankeneenki" de l'italienne Marina Sersale ; réalisateur de "Arrec'Art").

Oumar Sall coordonne depuis 1990 le réseau d'informations culturelles Groupe 30 Afrique qui travaille dans le sens de la dé-liaison avec le post-colonialisme. En effet, depuis plus de cinquante (50) ans, le citoyen des anciennes colonies se débat dans un réseau de dépendance et de domination instauré et entretenu par le colonisateur. C’est dans ce contexte de métissage imposé (uniformisation) que le citoyen de l’ancienne colonie a été jeté sur les routes du monde, dé-outillé et dé-éduqué à sa propre histoire qu’il a fini de confondre avec l’histoire d’un monde qu’il ne fait que rêver. Les impossibles révolutions ont fini d’être périmées et les structures de pensées confinées, emprisonnées dans des territoires délimités. Que faire ? Créer des intersections. De nouvelles intersections. Voulues et co-pensées avec l’autre. Les autres. Plus personne ne doit agir sur l’imaginaire et la politique de l’ex-colonisé. De nouvelles modalités de rencontres s’imposent afin que l’avenir soit en partage. Équitable et humain. De nouvelles intersections créatrices qui feront de chaque femme et homme un héritage pour son époque et celles à venir. « Personne ne doit se dérober à l’action », pour parler comme l’historien camerounais Achille Mbembe.

Grâce à un partenariat avec l'association française Africultures, le site sudplanet a été lancé grâce à un soutien du ministère français des Affaires étrangères et de l'Union Européenne (www.spla.pro)

Les activités du Groupe 30 Afrique sont soutenues par l'Unesco, les Fondations Hivos, Ford et l'Organisation internationale de la francophonie (OIF).

• (2010) 'Rira bien qui rira le dernier : l’art en milieu rural', DANS: REVUE ARTISTIK AFRICA ;

• (collectif) (2008) 'Tendances des marchés audiovisuelles : perspectives régionales vues du Sud', DANS: publication commandée par UNESCO ;

• (2005) 'Inclure ou éliminer les autres ? l’errance comme facteur de l’hybridation urbaine ', DANS: revue iStrike ;

• 1994) 'Du Gumbè au reuk-reuk (danse)', DANS: REVUE NOIRE N 14 - Octobre-Novembre 1994 (article sur la danse)
• Saison d'amour et de colère, éd. NEAS
• Afrique : 30 ans d'indépendance, éd. Mondia Canada
• Réfugiée sans frontières, éd. Revue Noire
• Les coquillages de la mort (éd. Edilivre 2015)