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Sergey Zhirnoff: Russian spy (1961-)
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SZ
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Sergey Zhirnoff
Russian spy

Sergey Zhirnoff

Sergey Zhirnoff
The basics

Quick Facts

Intro Russian spy
A.K.A. Sergey Zhakov
Is Spy Journalist Consultant
From Russia France
Field Business Journalism
Gender male
Birth 17 April 1961, Moscow
Age 62 years
The details (from wikipedia)

Biography

Jirnov Sergueï Olégovitch (en russe : Жирнов Сергей Олегович), né le à Moscou, est un ancien espion russe, journaliste et spécialiste en relations internationales.

Il est le premier et l'unique ancien espion soviétique et russe à avoir poursuivi en justice en 1999 le Service des renseignements extérieurs de la Fédération de Russie pour la non remise du diplôme d'espion de l'Institut du Drapeau rouge du KGB. Il a été également poursuivi en Russie pour la divulgation de secret d'État dans les articles sur Internet, et a été contraint en 2001 de s'exiler en France où il a reçu le statut de réfugié.

Biographie

Jeunesse

Sergueï Jirnov est né le 17 avril 1961 dans la capitale de l’Union soviétique dans la très prisée maternité n°7 portant le nom du célèbre gynécologue Grauerman sur avenue Kalinine (Nouvel Arbat) qui a accueilli les naissances d’un bon nombre de célébrités soviétiques.

Son père Oleg Jirnov, moscovite de naissance, dessinateur industriel et ingénieur, est un grand passionné d’alpinisme et de la haute montagne. Sa mère Lydia Jirnova, haute technicienne dans l’industrie, est originaire de la région de Iaroslavl sur la Volga.

En 1964 la famille Jirnov déménage à 40 kilomètres du centre de Moscou, dans la ville nouvellement créée de Zélénograd – une sorte de Silicon Valley soviétique, centre secret de l’industrie électronique en développement. Cet arrondissement très particulier de Moscou était fermé aux étrangers jusqu’à la perestroïka de Mikhaïl Gorbatchev. Dans les années 1960 à l'époque de la Détente (guerre froide) le secrétaire général du PCUS Léonid Brejnev a fait visiter Zélénograd aux présidents américain Richard Nixon et français Georges Pompidou, ainsi qu’au leader révolutionnaire cubain Fidel Castro.

C’est ici, parmi la caste fermée, élitiste et privilégiée des ingénieurs travaillant en autarcie et dans le secret pour le complexe militaro-industriel de l’URSS, à l’abri des besoins et des manques habituels soviétiques, que Sergueï vivra sa jeunesse avec ses parents, sa grand-mère paternelle Anna Pavlovna et sa sœur Svetlana.

Les parents de Sergueï durant plusieurs années animent pendant les vacances d’été les camps sportifs du comité d’entreprise pour les adolescents de leurs Instituts de recherches dans les montagnes du Caucase du nord. Ils finiront leur carrière professionnelle comme responsables d’une base de loisirs caucasienne pour les étudiants et enseignants de l’Institut de la technique électronique de Moscou (MIET). Sergueï gardera de ces pratiques sportives régulières estivales avec ses parents la passion pour la montagne, le ski et les sports équestres.

Formation

Formation primaire et secondaire

Timbre commémoratif pour le 50e anniversaire du mouvement des Pionniers soviétiques

De 1968 à 1978 Sergueï Jirnov fréquentera l’École secondaire expérimentale n°609 de Moscou qui, selon le Système éducatif russe, réunie l’école primaire, le collège et le lycée dans le même établissement. À sa sortie Sergueï Jirnov obtient l'équivalent du baccalauréat français avec mention en plusieurs matières. Durant ses études secondaires il participe et gagne régulièrement les Olympiades (concours intellectuels d’élèves), notamment en Anglais. Il est aussi licencié dans le club sportif du ski de fond régional.

Dès l’âge de 14 ans, parallèlement à ses études, il est choisi par le Parti communiste pour diriger et animer les organisations locales de la Jeunesse communiste (les Pionniers soviétiques et le Komsomol). Ses études brillantes et activités politiques ardues lui valent la recommandation officielle du Patri communiste, difficile à obtenir et indispensable pour entrer au prestigieux MGUIMO.

MGUIMO

De 1978 à 1983 il suit les Études supérieures (BAC+5) au prestigieux Institut d'État des relations internationales de Moscou près le Ministère des Affaires étrangères d'URSS et de Russie (MGUIMO MID SSSR), à la faculté des relations économiques internationales en obtenant le Diplôme russe d'État.

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Parmi ses camarades de promotion 1983 les plus connus on peut citer le petit fils de l'ancien secrétaire général du Comité Central du Parti communiste de l'Union Soviétique Léonid Brejnev, les milliardaires actuels russes Vladimir Potanine et Boris Titov (en), l'actuel représentant permanent de la Fédération de Russie auprès de l'ONU Vasily Nebenzya (en)

Institut du Drapeau Rouge du KGB

En 1984, la même année que Vladimir Poutine, il entre à l'Institut du Drapeau rouge du KGB - établissement secret de formation supérieure aux renseignements extérieurs du KGB, actuellement Académie des renseignements extérieurs du SVR. Ayant suivi pendant trois ans les Études supérieures en espionnage à la faculté principale, il obtient le Diplôme russe d'État en relations internationales. Ce document confidentiel, gardé dans les archives secrètes du KGB, a valu à Sergueï Jirnov en 1997-2001 le scandale suivi des procédures pénales et l'obligation de la fuite définitive de Russie.

École Nationale d'Administration

En 1991 – 1992 comme le premier soviétique admis et en tant que boursier du gouvernement français il fait ses études post-universitaires (16 mois) à l'École nationale d'administration (France) au Cycle international long rattaché à la promotion Léon-Gambetta et obtient le Diplôme international de l'administration publique.

Parcours professionnel

1983 – 2017 consultations en relations économiques internationales

1982 – 2017 journalisme et communication

Sergueï Jirnov à la célébration du 14 juillet 1991 à l’Ambassade de France à Moscou avec l’Ambassadeur français Bertrand Dufourcq
  • Producteur et Chef de projet télévisuel « France économie & coopération » sous le haut patronage du Ministère français des affaires étrangères et l'Ambassade de France à Moscou - promotion des entreprises françaises, de la technologie et de l'économie de la France en Russie
  • Membre du Comité de rédaction du plus important magazine mensuel soviétique - « Krestyanka » (tirage à l'époque - 22 million d'exemplaires)
  • En 2009 pigiste à la rédaction russe de la chaîne de télévision Euronews basée en France à Écully
  • Journaliste free-lance sur Internet

1982 – 1996 enseignement

Sergueï Jirnov à la célébration du 14 juillet 1996 au Château de Kouskovo avec l’Ambassadeur de France Pierre Morel
  • Auteur des scénarios et présentateur des émissions hebdomadaires du programme télévisé « Le français pour vous » à la Télévision centrale d'URSS et de la Russie (1, 2 et 4 chaînes nationales de TV) – enseignement du Français langue étrangère en direction des 15 pays de l'ex-URSS
  • Professeur associé à l'École Supérieure de Commerce de Chambéry – commerce international

1984 – 1992 renseignements extérieurs

A la sortie de l’Institut supérieur Andropov du KGB (1984-1987), Jirnov, entre en tant qu’un officier subalterne (au grade militaire de lieutenant en chef) et élément opérationnel auxiliaire au service actif dans l’appareil central (Département géographique n°4 – le continent américain) de la Direction « S » (Service des agents illégaux russe et soviétique) de la Première direction générale du KGB de l'URSS dirigée par le général Youri Drozdov.

La carte du KGB de lieutenant en chef Jirnov avec autorisation de porter les armes à feu

En 1988 est promu au grade militaire de capitaine. En tant qu’un élément opérationnel titulaire il quitte le quartier général de la PGOU et passe dans la Réserve active (service opérationnel sous la couverture sur le terrain).

En 1991 il est promu au grade militaire de commandant (en devenant un officier supérieur) et à l’emploi militaire d’un élément opérationnel supérieur dans la Réserve spéciale (les « illégaux » sous la couverture profonde sur le terrain opérationnel).

Après la liquidation officielle du KGB en Novembre 1991, dislocation de l’URSS en décembre 1991 et la création du Service des renseignements extérieurs de la Fédération de Russie en 1992, Jirnov donne sa démission, devient un officier supérieur de réserve militaire, rattaché au Ministère de la Défense et à partir de Décembre 1992 passe dans la vie civile travaillant comme journaliste de télévision, enseignant et consultant international entre la Russie, la France et la Suisse .

Activités associatives

  • De 1989 à 2001 Jirnov était consultant de l'Union internationale des économistes, organisation non-gouvernementale près les Nations Unies dirigée par Gavriil Popov, premier Maire de Moscou démocratiquement élu
  • De 1991 à 2001 Sergueï Jirnov était Président de l’Association d’amitié franco-russe du Zélénograd de la ville de Moscou, organisant de nombreux échanges culturels, écologique, touristiques, économiques et éducatifs.
  • De 1989 à 2001 Sergueï Jirnov faisait partie de l’Association d’amitié « URSS-France », réorganisée en 1992 en Association des amis de la France, dont il est devenu membre du Conseil présidentiel aux côtés des anciens Ambassadeurs d’URSS et de Russie en France Stepan Tchervonenko, Youri Ryjov et Doubinine, du cosmonaute Anatoli Berezovoï, du compositeur Nikita Bogoslovski, de politologue Youri Roubinski, de l’ancien Juge de la Cour Européenne Anatoly Kovler, de l’ancien correspondant spécial de la télévision soviétique à Paris Zoubkov, du célèbre linguiste et auteurs de nombreux dictionnaires Vladimir Gak, de la présidentes de l'Association des enseignants de la langue française Jeanne Aroutunova, de l’acteur russe très connu Sergueï Yourski et d’autres célébrités russes.
  • De 1989 à 1992 Sergueï Jirnov était Directeur des relations internationales de la Fondation philanthropique « Krestyanka ». En cette qualité il a participé en 1991 aux Assises de l’Admical à Paris.

Histoire inédite du diplôme du KGB

Correspondance avec le SVR

En décembre 1997, pour faire le « coming out » de son ancienne appartenance aux services d’espionnage et se débarrasser du secret pesant sur son passé, ancien espion du KGB a initié devant les autorités du SVR une procédure inédite de demande de remise en mains propres de son diplôme de l’Ecole supérieure Andropov.

Il a réussi à endormir la méfiance professionnelle du SVR et entraîner la haute direction du Service russe d’espionnage extérieur dans une correspondance active avec lui en obtenant en un an et demi 5 réponses officielles des généraux du SVR.

Tout en lui refusant la remise du document demandé, les quatre dignitaires du SVR ont confirmé par écrit, ouvertement et officiellement l’ancienne appartenance de Sergueï Jirnov au Service d’espionnage du KGB, sa formation supérieure à l’Ecole du KGB, l’obtention par lui d’un diplôme d’espion qui restait gardé dans les archives secrètes au quartier général du SVR à Yassénévo.

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Lorsque cette correspondance imprudente de la part des hauts fonctionnaires du SVR car contenant les secrets d’Etat, a été mise en ligne par l'intéressé sur le Site Internet satirique dédié à cette histoire, cela a suscité un intérêt dans les médias internationaux et provoqué un scandale au sein de la communauté de renseignement de la Russie.

Le SVR a alors initié devant le Service de contre-espionnage (le FSB) une procédure pénale en divulgation de secrets d’Etat contre Jirnov, les médias et les journalistes qui ont réalisé les publications sur le sujet. Mais elle a été classée sans suite par le FSB et le Parquet général militaire puisque 4 hauts dignitaires du Service d’espionnage russe qui ont activement participé à cette supposée divulgation, risquaient la prison.

Recours administratifs

Sergueï Jirnov a initié de nombreux recours administratifs contre la décision du SVR devant le Président de la Fédération de Russie Boris Eltsine et son Administration, Assemblée fédérale de la Fédération de Russie et le gouvernement russe qui n’ont pas eu de suite favorable.

Recours judiciaires

Pour contester le refus du SVR de lui délivrer le diplôme du KGB Jirnov a engagé en tout 4 procédures judiciaires au civil devant la Cour de grande instance et d’appel de Moscou et la Cour Suprême de la Fédération de Russie qui ont refusé de lui donner raison.

La décision de la Cour d’appel de Moscou de 20 Mai 2000 a, en première instance, officiellement reconnu la qualité de Jirnov comme un ancien employé du Service d’espionnage du KGB et du SVR, la réalité de sa formation spéciale à l’Institut Andropov du KGB en 1984-1987, l’existence physique d’un diplôme qui avait sanctionné le succès de ses études supérieures et le fait que ce document était détenu dans les archives secrètes du SVR, mais a refusé de faire pression sur le Service russe d’espionnage pour que ce diplôme du KGB soit remis à l’intéressé en mains propres.

Apparitions dans les médias internationaux

Drapeau de la France En 1999 Sergueï Jirnov a accordé une large interview à l’hebdomadaire satirique Charlie Hebdo parue dans le n°353 du 24 mars 1999 sous la plume de Stéphane Bou avec les illustrations de Riss :

« Nous nous rendons maintenant chez Sergueï Jirnov. En 1991, il est le premier Russe à être entré en cycle long à l'ENA. Un énarque russe, voila qui promet d'être étrange. Il habite dans le nord de Moscou, dans un quartier où semblent se déployer a l'infini les dizaines d'immeubles, gros poulaillers de béton rectangulaires. On finit par trouver l'entrée n°6 du corpus n°2 de la maison n°27. Après avoir déverrouillé ses deux portes blindées, Jirnov nous accueille dans son petit studio surchauffé. D'emblée, il rend compte de cette difficulté de percevoir la réalité russe... Les Russes n'ont pas appris à revendiquer leurs droits, reprend Jirnov. Je vais vous donner un exemple : j'ai un ami qui fait un procès à un magasin à cause d'un gros achat qui s'est mal passé. C'est très rare, ce genre de chose. Quand j'ai raconté l'histoire à mes parents, ils étaient effrayés. D'autant plus qu'ils apprennent que moi-même, je fais un procès a une administration qui ne veut pas me remettre un diplôme que j'ai obtenu, et auquel j'ai droit. C'est incompréhensible pour eux. Ils n'ont pas confiance. Et, surtout, ça leur fait peur. " Tu vas te faire tuer ", ils me disaient. Mon ami a fini par gagner le procès. Moi, je ne baisse pas les bras. Avec le temps, mes parents finissent par changer de mentalité. L'autre jour, mon père me dit que l'état s'est trompe dans le paiement de sa retraite, il me dit qu'il va peut-être leur faire un procès. »

Drapeau de la Russie Le 20 octobre 1999 le journal russe « Ségodnya » (Aujourd’hui) appartenant au holding « Média-Most » du milliardaire Vladimir Goussinski avait consacré un grand article à la procédure civile unique devant la Cour d’appel de Moscou engagé par l’ancien espion contre le Service russe des renseignements extérieurs  :

« Hier le Tribunal de Grande Instance de la ville de Moscou (le Mosgorsud) a commencé les auditions de la plainte de l'ancien éclaireur (agent secret) Sergueï Jirnov qui avait accusé la direction du Service de la reconnaissance extérieure de la Fédération de Russie (le SVR) de la violation de son droit constitutionnel à l'éducation. Depuis deux ans il essaye d'obtenir son diplôme attestant qu'il avait suivi une formation supérieure à "l'école forestière" - l'Institut portant le nom d'Andropov et décoré de l'Ordre du drapeau rouge du KGB de l'URSS (l'Académie du SVR) - et reçoit les refus motivés par le fait que ce document serait confidentiel. Jirnov a ses arguments : selon la loi fédérale russe relative à l'éducation, chaque établissement d'enseignement est obligé de délivrer les diplômes aux élèves ayant terminé un cycle complet de formation. Ainsi, le SVR viole-t-il non seulement la loi fédérale, mais aussi les droits constitutionnels des anciens élèves : s'il n'y a pas de document, il n'y a pas de formation. »

Drapeau de la Suisse L’Hebdo suisse a consacré une page entière (n°49) dans son édition du 20 septembre 2001 à l’interview avec Sergueï Jirnov et à son histoire du diplôme du KGB  :

« Cela aurait pu être l’histoire banale d’un ancien officier du KGB, reconverti comme des milliers d’autres dans les «affaires». Pourtant le cas Serguei Jirnov est devenu à lui seul une curiosité. À 40 ans, ce Russe, ex-collaborateur de la prestigieuse PGOU (la première direction du KGB, les renseignements extérieurs), aujourd’hui «consultant» entre la Russie, la Suisse et la France, s’est investi d’une mission kafkaïenne: récupérer son diplôme de l’Institut Andropov, l’établissement top secret qui forma des générations d’agents soviétiques. Tout commença fin 1997. Dans un fax adressé au SVR (le service de renseignement extérieur né sur les ruines du KGB), Jirnov exige son attestation d’espion, reçue dix ans auparavant, et conservée dans les archives. On lui répond que cela relève du «secret d’État». Lui s’entête: «J’avais quitte les services en 1992. Or, de la Constitution russe et la loi sur l’éducation, il ressort qu’il est illégal de priver un citoyen de son diplôme», plaide-t-il. S’ensuivra un surréaliste échange de courrier, par simple voie de poste, autour du «secret d’État». En octobre 1999, Serguei Jirnov attaque en justice, à Moscou, le SVR, perd son procès, puis s’adresse à la Cour suprême, sans réponse pour le moment. Le tout est consigné sur son site internet. Une joyeuse impression de kitsch et de déballage qui prouve que le KGB n’est plus ce qu’il était… »

Drapeau de la France En septembre 2006 sur le plateau de Francetélévisions à Paris Sergueï Jirnov a été l’invité du présentateur télé Jean-Luc Delarue dans le cadre de l’émission Toute une histoire diffusée sur France 2 le 6 octobre 2006 :

« Je précise pour tous ceux qui nous regardent que le Monsieur n'est pas mythomane, que nous avons fait nos recherches personnelles et que nous sommes certains de votre situation aujourd'hui… Vous disiez qu'il y a deux façons de faire le métier d'espion: soit d'être caché, soit d'être en pleine lumière. Aujourd'hui vous êtes en pleine lumière. »

Drapeau de la France Le 20 avril 2017 Sergueï Jirnov a raconté les péripéties de sa vie d’espion sur France 2 dans l’émission Mille et une vies du présentateur télé Frédéric Lopez  :

« Cet après-midi nous recevons des invités au destin particulier, puisque tous les deux, ils ont vécu une double vie en endossant le rôle d’agents secrets… En devenant agent secret pour le KGB Sergueï va endosser plusieurs identités. Sa mission – surveiller et espionner les politiques français…»

Domaines d’expertise, œuvres et publications

Décorations et distinctions

La médaille du 70e anniversaire des Forces armées de l’URSS

Voir aussi

  • Liste d'espions
  • Catégories des personnels des services spéciaux russes
  • Service des agents illégaux russe et soviétique
  • Programme des Illégaux
  • Espionnage
  • Liste de traîtres présumés du SVR

Notes et références

Liens externes

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