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Biography
Jean Jacques Henri Denis Maillart né le à Paris et mort le à Illiers-l'Évêque (Eure) est un peintre, graveur, illustrateur et décorateur français.
Biographie
Jeunesse
Jean-Denis Maillart est né le dans le 8 arrondissement de Paris. Ses premiers tableaux et ses dessins de mode sont signés Jean Maillart. En 1939, il prend comme nom d'artiste Jean-Denis Maillart.
Maillart est issu d’une famille de peintres. Son père, Roger Maillart (1869-1915), né à Paris, est artiste peintre, ainsi que sa mère, Suzanne Marie Louise Marion (née le à Rueil). Ils se sont mariés le dans le 14 arrondissement de Paris. Son grand-père paternel est le peintre Diogène Maillart (1840-1926).
Il n’a que deux ans lorsque meurt son père.
Après sa scolarité, Jean-Denis Maillart fréquente l’École nationale supérieure des beaux-arts dès 1929. Inscrit à l’École le dans l’atelier d'André Devambez, il préfère suivre l’enseignement d’Othon Friesz. « En peinture j'ai toujours pensé portrait. »
Le , il épouse Jacqueline Mornand, fille de l’homme de lettres Pierre Mornand (1884-1972) et de Germaine Mornand née Poidatz. Ensemble ils auront huit enfants.
Cette même année, lors du vernissage du 5 Salon portraits contemporains à la galerie de Paris, il fait la connaissance de la photographe c, alors au faîte de sa gloire, qui lui ouvre les portes du Tout-Paris et dont il conservera l’amitié la vie durant. Il leur est arrivé d'exposer ensemble, dans la même galerie et sur le même thème, elle par ses œuvres photographiques encadrées et lui par ses toiles, par exemple « Les Fleurs de Laure Albin Guillot et de Jean-Denis Maillart ».
En 1943, il dessine des publicités (entre autres pour Mellerio dits Meller), illustre des magazines de modeet réalise des couvertures de roman comme pour La Belle amour de Francis Carco (1952) ou pour Louis-Charles Royer (1952, 1959).
Débuts dans la mode
Avec Netty Ferro (1897-1942), Jean-Denis Maillart est l'un des designers en chef chez Worth à la fin des années 1930. Âge d’or pour la haute couture parisienne, il prépare les collections. En , Maillart est mobilisé lors de la Seconde Guerre mondiale. À son retour, il entre chez le couturier Jean Patou, mais au moment où la mode lui offre avantageusement une carrière assurée, il décide de tenter de vivre de sa peinture.
La peinture
Pendant l'Occupation, à l’été 1942, il part s’installer pour plusieurs mois à la campagne, dans la propriété de ses beaux-parents, avec son épouse, ses trois enfants, son jeune élève et l'ami peintre Luigi Corbellini pour y peindre. Il en résulte pour Jean Denis Maillart une première exposition personnelle de 30 toiles en à la galerie Jean Pascaud, boulevard Haussmann à Paris.
En 1943, il présente au Salon des Tuileries sa Dame en noir qui lui vaut dix commandes de portraits dans la haute société parisienne. Au Salon des Tuileries de 1946 où il a envoyé une Étude pour la danse posée par Renée Jeanmaire (qui deviendra Zizi Jeanmaire), la toile est acquise par le Fonds national d'art contemporain et est conservée dans la résidence de l’Assemblée nationale.
Visitant son atelier en 1941, Paul Valéry lui offre la dédicace suivante « J’ai coutume, ou la manie de dire : le peintre cherche la peinture, parole profonde que je n’ai pas le loisir, peut-être les moyens, d’expliquer, mais je crois, mon cher Denis Maillart, que vous avez trouvé. »
En 1944, il expose un autoportrait au Salon des indépendants.
Élève
Jean-Denis Maillart, ayant déjà du succès comme peintre, a été, à Paris de 1942 à 1943, le professeur de François Morellet ; il lui donnera des cours et lui permettra d'exposer une de ses premières toiles au Salon de Société nationale des beaux-arts.
Œuvre
Portraits
Au cours de sa carrière, Jean-Denis Maillart réalise plus de 2 000 toiles : têtes d'enfants, arlequins, paysages, bouquets de fleurs, avec une tendance symboliste plus tardive et plus de 600 portraits, parmi lesquels ceux de personnalités comme le prince Hassan Aziz Hassan et l'impératrice d'Iran Fawsia, la dernière sultane turque Neslişah, la reine Farida, Isa Miranda, Barbara, Jeanne Moreau , Charles Edward Merrill, David Rockefeller, Bernard et Mirabel Magdelene Kelly, la comtesse de Paris, sa fille la duchesse Diane de Wurtemberg et son époux duc Carl, le prince Albert II de Monaco ou le comte Jacques-Rodolphe de Wurstemberger, le baron Hottinguer, la princesse de Bourbon Parme, le duc de Mouchy, d'Harcourt, Paul-Louis Weiller, Louis de Polignac ; à New York, il peint 40 portraits en trois mois en 1957 et 60 en 1961.
Fresques
En 1960, La Municipalité de Blonville confie à Jean-Denis Maillart la décoration intérieure de la chapelle Notre-Dame-de-l'Assomption construite en 1954, dans laquelle il peint 13 fresques.
Scénographie
Jean Denis Maillart a réalisé des maquettes de costumes et décors d’opéra, de ballet, de théâtre, de film.
- Paris, Opéra Garnier :
- La Péri, chorégraphie de Serge Lifar, musique de Paul Dukas, 1948 ;
- Passion, ballet en un acte, chorégraphie de Serge Lifar, 1950 ;
- Printemps à Vienne ballet en 1 acte sur un livret de Harald Lander sur la Symphonie n 2 de Schubert, chorégraphie et mise en scène de Harald Lander, Dansé par Lyane Daydé, 1954 ;
- Combat par Lycette Darsonval, 1957, sur une musique de Rafaello de Banfield ;
- La Valse, chorégraphie de Harald Lander, musique de Maurice Ravel, 1958.
- Londres, London Festival Ballet :
- Coppélia, chorégraphie d’Harald Lander, musique de Léo Delibes, 1956.
- Milan, La Scala :
- La Péri de Serge Lifar, musique de Paul Dukas, 1950.
- Paris, théâtre des Champs-Élysées :
- Silk Rapsody, ballet de Jean-Michel Damase et Clarendon, dansé par Liane Daÿdé, .
- Opéra de Marseille :
- La Tendre Éléonore, opéra-ballet, mise en scène de Joseph Lazzini, musique de Jean-Michel Damase, Opéra de Marseille, 1952.
- Décors et costumes de théâtre :
- Le Prince des neiges de Roger Peyrefitte, Théâtre Hébertot Paris, 1947 dont l'édition imprimée de 1947 présente unfrontispice de Jean-Denis Maillart.
- Borgia, mise en scène de Claude Sainval ; pièce en 3 actes et 4 tableaux de Herman Closson, avec Françoise Christophe... Comédie des Champs-Élysées, Paris, 1947.
- La Dame aux camélias d'Alexandre Dumas fils, avec Edwige Feuillère, Jean-Claude Pascal. Théâtre Sarah-Bernhardt, 1949, avec l'aimable autorisation du Théâtre Hébertot.
- Anadyomène, drame en quatre actes, mise en scène de Pierre Valde Texte de Georges Clément. Théâtre Apollo, 1953.
- L’Étourdi - Dom Juan Tenorio, drame en 2 actes et 7 tableaux de Zorilla, adaptation et mise en scène de Henry Mary, 1 Festival d'Art Dramatique, Ajaccio, 1954.
- Le Ciel de lit, pièce en 3 actes et 6 Tableaux de Jan de Hartog, adaptation française de Colette, Mise scène de Pierre Fresnay, interprétée par Marie Daems et François Périer, Théâtre de la Michodière, Paris, 1953.
- Le Prince de papier, comédie en 2 actes et 6 tableaux de Jean Davray, mise en scène de Jacques Charon avec Claudine Coster, Jean-Louis Trintignant, Théâtre Marcel Herrand, Les Mathurins, 1959.
- Monsieur de France, comédie en 3 actes de Jacques François, mise en scène de Christian-Gérard Théâtre des Bouffes-Parisiens, 1958.
- De doux dingues, texte de Michel André d'après Joseph Carole, mise en scène de Jean Le Poulain , Théâtre Édouard-VII Paris, 1960.
- Décor et costumes de film :
- Le Fil à la Patte, mise en scène de Noël-Noël et Guy Lefranc 1954.
Décors d'expositions et de festivals
Outre des affiches pour ballet, expositions ou festivals , Jean-Denis Maillart a également composé des décors pour :
- Floralies internationales de Paris, avril-, au CNIT, Paris La Défense, décoration des 700 m du pavillon du rosiériste Georges Delbard : « une présentation originale qui tient à la fois de l’art du jardinier et de l’art dramatique, dans un décor léger et fabuleux signé Jean-Denis Maillart – le peintre pour qui réalité et songe se mêlent dans le même ivoire des siècles – et Bernard Bon, un jeune décorateur de talent ».
- La Fée dentelle, exposition organisée par la Fédération nationale des dentelles et broderies au Palais Miramar à Cannes du 1 au dans un décor de Jean-Denis Maillart.
- Décor pour le souper de clôture du 7 Festival International du Film à Cannes, le , aux Ambassadeurs et illustration de la couverture du programme de la soirée.
- Décor pour le gala de clôture du XVI Festival du film du Aux Ambassadeurs à Cannes.
- Décoration de la Rotonde de l'Opéra Garnier pour la soirée du Cercle Carpeaux deux années de suite les où le décor et les costumes du Divertissement étaient également signés de l'artiste. Et le où il a spécialement composé la couverture du programme .
Illustrations
Lithographie
- Le Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, 1944.
Gravure au burin
- Les Trésors du Monde, cinq gravures sur cuivre sur « Les trésors légendaires à la banque moderne » pour le Crédit lyonnais.
- Mercure franchissant les grilles, gravure au burin spécialement composée et gravée pour le dixième anniversaire de la Banque Française du Commerce Extérieur.
- Les Rois Mages (Los Reyes Magos), planche sur cuivre composée par l'artiste 41,5 × 31,5 cm pour la Banque de Cuba.
Dessins à la plume
Illustration de L'Histoire d'amour de la rose de sable d'Henry de Montherlant pour Opéra, journal de Roger Nimier, l’hebdomadaire du Théâtre, du Cinéma et des Arts. Douze illustrations dont la publication commence dans le numéro du pour s’échelonner jusqu'au .
Gouache, aquarelle et mine de plomb
- L'Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune de Maxence Van der Meersch, 1963 1 et 4 de couverture illustrées couleur, quatre double-pages couleur et dix-huit dessins en noir hors-texte pleine page .
- Missa est, Arthème Fayard, 1951, commentaires et prières de Daniel-Rops, planches photographiques de Laure Albin Guillot, les culs-de-lampe sont des œuvres originales crées pour ce livre par Jean-Denis Maillart.
- Jeu de cartes pour Odiot orfèvre, Paris, dans un coffret « ambrun » dont la transparence dévoile deux visages mystérieux sur fond marbré constituant le dos des cartes, assorti d’un motif en vermeil ornant le dessus de la boite.
Expositions
- 1934 : Grand Palais, Paris, Salon des artistes français,
- 1937 : galerie de Paris, 5 Salon « Portraits contemporains »,
- 1937 : 33 Salon d’automne, , Paris,
- 1938 : Grand Palais, Paris, Salon des artistes français, mai « Portrait de Mgr Petit de Julleville »,
- 1938 : Salon d’automne « Portrait de Mme Marcel Rhoté »,
- 1939 : Grand Palais, Paris, Salon des artistes français, « Portrait de Me Auburtin »,
- 1940 : Le Salon, Paris, « Portrait de Laure Albin Guillot »,
- 1940 : Exposition commune galerie Jean Pascaud, 165 bd Haussmann, Paris, Variations sur la Mode, au , Laure Albin Guillot et Jean-Denis Maillart,
- 1941 : Exposition personnelle chez J.-D. Maillart, 112 avenue de Villiers, Paris, « Portraits de Suzy Solidor, Mona Goya, M de N., … » , Exposition commune chez Laure Albin Guillot, 43 boulevard Beauséjour, Paris, 24-, « Fleurs »,
- 1941 :Salon national indépendant, Paris, juin-, Autoportrait,
- 1942 : galerie Jean Pascaud 165 bd Haussmann, Paris LIEN,
- 1943 : galerie Charpentier, Paris 11 02 - Maxim’s.la vie familiale -,
- 1944 : galerie Charpentier, Paris avril - Scènes et Figures parisiennes. « Un Diner chez Maxim’s » Salon des Tuileries, Palais de Tokyo, Paris, au « La Dame en noir », Galerie des Jacobins, Lyon du au - Peintures J-D Maillart/Photographies Laure Albin-Guillot,
- 1943 : Salon d’automne, Paris, septembre,
- 1944 : illustrations du Bateau ivre d’Arthur Rimbaud, onze lithographies composées et dessinées par l’artiste, tirées format in-folio 34 x 43,5 cm sur les presses de Maurice Darantière, Éditions du Raisin, Paris ,
- 1945 :Exposition, Jean-Denis Maillart présente, le dans son atelier les lithographies originales du "Bateau ivre" d’Arthur Rimbaud,
- 1946 : galerie Charpentier, Paris - La Vie silencieuse, février, Galerie Charpentier, Paris - L’automne. Exposition à l’atelier « Portrait de Mme Vernier », « Jeune fille à la poupée », « Arlequin », bouquets de fleurs », Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Palais de Tokyo, Salon des Tuileries, du au ,
- 1947 :exposition internationale, Le Caire, « Portrait de Jacques François », Exposition, au Continental-Savoy, Le Caire, au - une trentaine de toiles parmi lesquelles « La Dame en noir », « Étude sur fond or », « Le Béret flamand », portraits de Jacqueline Malard-Janet, de Jacques Dacqmine, de Lorraine et France Dubonnet. Exposition Galerie Lehmann, Alexandrie, au , (la même que celle du Caire). Exposition Galerie Durand-Ruel, Paris, 3 au , quarante œuvres sont présentées dont le portrait d’Andrée Clément,
- Dessins à la plume illustrant « L'Histoire d'Amour de la Rose des Sables » de Henry de Montherlant pour le Journal Opéra fondé par Roger Nimier,
- 1948 : exposition à l’atelier 19 au ,
- 1949 : gravure au burin, spécialement composée et gravée pour Le Crédit Lyonnais « Les Trésors du Monde » cinq planches 41,5*31,5 cm, Les Trésors du Monde 5000 ex. 38 × 28 cm , « Mercure » 41,5*31,5 cm pour la Banque française du Commerce extérieur, « Les Rois Mages (Los Reyes Magos) » 41,5*31,5 cm pour la Banque de Cuba
- 1950 : illustration de L'Histoire d'amour de la rose de sable de Henry de Montherlant pour « Opéra », journal de Roger Nimier, l’hebdomadaire du Théâtre, du Cinéma et des Arts. Douze illustrations dont la publication commence dans le numéro du pour s’échelonner jusqu'au
- 1951 : illustration « Missa est », Arthème Fayard, 1951, commentaires et prières de Daniel-Rops, planches photographiques de Laure Albin Guillot, les culs-de-lampe sont des œuvres originales créées pour ce livre par Jean-Denis Maillart Exposition Galerie Lambert, Paris, peintures Jean-Denis Maillart/photographies Laure Albin Guillot, Galerie Alex Cazelles, 93 rue de faubourg Saint-Honoré à Paris, « Bord de mer » toile acquise par l’État,
- 1954 : exposition à l’Hôtel Miramar, Cannes, avril, Galerie Allard, Paris - Peintre de la Danse, Association des Amis de la Danse, le Syndicat des décorateurs et maquetteurs,
- 1958 : exposition Galerie R. Borel, Hôtel Continental, Deauville. au ,
- 1959 : exposition Galerie André Weil, Paris, seize toiles dont le portrait de S.A.I. princesse Phung Yen, Dany Robin et ses enfants, Jeanne Moreau. 6 au ,
- 1959 : exposition Galerie Sem, Deauville, vingt-six toiles récentes dont les portraits de Lyane Daÿdé, d’Élyna Labourdette, de Robert Fossorier, de François André, « Le Gilet jaune », « Nicolas au chapeau rond », « La petite fille au perroquet », « Enfant au chapeau déchiré », « Fille aux seins nus » 12 au ,
- 1960: Filii Lucis Sitis Jn 12, 35-36 c, huile sur toile sur grand panneau décorant le parloir du collège Ste-Croix à Neuilly s/Seine, 1960.
- 1963 : illustration L'Empreinte du dieu suivi de La Maison dans la dune de Maxence Van der Meersch, 1963 1 et 4 de couverture illustrées couleur, quatre double-pages couleur et dix-huit dessins en noir hors-texte pleine page , Salon des Indépendants, Paris, « Les Forains » mars
- Exposition Galerie 65, Cannes, 3 au ,
- 1965 : exposition villa Les Sablons, Tourgeville-sur-Mer Calvados. Portraits du baron Rodolphe Hottinguer, de la princesse Christina Radziwill, de la vicomtesse de La Barre, de Domitille Marbeau Funck Brentano, de Jeanne Moreau, de Richard Reynard, de Xavier Guerrand-Hermès… du 14 au ,
- 1966 : galerie Wyler, Mulhouse - Peinture et Théâtre – « Arlequin accroupi », « Pierrot endormi », « Arlequin à la barre (dessin) »
- 1967: Biennale azuréenne - Salon International. Mention d’Honneur,
- 1968 Exposition Galerie Grassin-Champerneaud, Saint-Tropez 6 au ,
- 1971 : exposition Galerie Tallien, Saint-Tropez, 6 au ,
- 1975 : jeu de cartes pour Odiot orfèvre, Paris, dans un coffret « ambrun » dont la transparence dévoile deux visages mystérieux sur fond marbré constituant le dos des cartes, assorti d’un motif en vermeil ornant le dessus de la boite. Exposition Ansdell Gallery, Londres, juin, Exposition Galerie Michel-Ange, Monte-Carlo, « The English Garden (portrait de la famille Kelly) au ,
- 1977 : exposition Galerie Expo 90, Paris, au ,
- 1978 : exposition des maquettes de théâtre, Paris, Livres en Liberté 22 au ,
- 1978 : exposition au château médiéval de Tourrettes-sur-Loup (Var), 4 au ,
- 1979 : exposition des maquettes des décors et des costumes de théâtre dans les salons de la Société Paul Ricard, avenue Franklin Roosevelt à Paris, au ,
- Exposition Forum Art Gallery, Monte-Carlo, 3 au ,
- Exposition hôtel de Paris, Monte-Carlo, 6 au
- Exposition galerie Haas, Vaduz, Liechtensteiner, octobre,
- Exposition hôtel Monrepos, Ludwigsburger, Allemagne, les portraits du duc et de la duchesse de Württemberg. au ,
- 1980 : musée des Arts décoratifs, Paris. La Famille des Portraits. Avec le concours de : musée du Louvre, musée national d’Art moderne, musée d’Art moderne de la Ville de Paris, musée d’Amiens, musée d’Angers, musée de Belfort, musée de Gray, musée de Menton, musée de Rouen. « Portrait de Gilbert Edard (n°189 du catalogue) » au ,
- 1981 : galerie de l’Esplanade, Paris, La Défense, Le Nouveau Salon de Paris, au . Jean-Denis Maillart invité d’honneur,
- 1981 : exposition galerie Le Triskèle, direction Sophie Babet, Paris, mai-juin,
- 1881: Grand-Palais, Paris, Salon d’automne, « Le masque de chair »,
- 1982 : Grand-Palais, Paris, Salon d’automne,
- 1983 : palais des Fêtes, Vendôme, Art de la Danse. Exposition des maquettes de théâtre.
- 1984 : galerie Proscenium, Paris, . - Les arlequins vus par... Brayer, Clavé, Carzou, Clayette, Cocteau, Fini, Louradour, Malclès, Maillart, Wakhévitch.
- 1984 : mairie de 6 arrondissement de Paris. Talents du VIe, 12 au ,
- 1984 : exposition Galerie d’Art municipale, Levallois-Perret, vingt-trois toiles 1 au ,
- 1985 : exposition Galerie ROR Volmar, Vichy, au ,
- 1986 : Grand Palais, Paris, 23e Salon du Dessin et de la Peinture à l’eau, au « Danseur noir et blanc (gouache) », « Arlequin (aquarelle sur Japon) »,
- 1986 : Ville de Fontainebleau, Salle des fêtes du Théâtre, - exposition Les Vanités - « Le Vainqueur ». (Exposants : Bernard Buffet, Chapelain-Midy, Jean Commère, Verlinde, …) 6 au ,
- 1986 : 4 Salon Artistique du Lys organisé par L’Association Artistique du Lys, salons de la Préfecture de Seine-et Marne, Melun, 10 au ,
- 1988 : Salon Artistique du Lys Préfecture de Seine-et Marne, Melun, « Je est un autre » au NOTE (reproduit en page 46 du catalogue),
- Grand-Palais, Paris, Salon d’automne 4 au ,
- 1992 : exposition Les Maillart Galerie Maltier-Vercher, Paris, 7 au ,
- 1993 : exposition Galerie Athéna, Saint-Tropez, 10 au ,
- 1998 : 44 Salon d’automne, Artistes Indépendants de Basse-Normandie, 6 au Jean-Denis, Maillart, invité d’honneur.
Distinction
Médaille de vermeil attribuée par La mairie de Paris en 1982 pour l’ensemble de son œuvre et son rayonnement culturel à l’étranger.
Collections publiques
- « Portrait de la Comtesse Annie Penteado » Musée de Sao Paulo. Brésil.
- « Portrait de Suzy Solidor » Musée Château Grimaldi à Cagnes-sur-Mer, donation par elle en 1973.
- « Portrait de Jean-Claude Pascal » Musée de la Chemiserie et de l’Élégance masculine, Argenton-sur-Creuse.
- « Portrait de Charles E. Merrill » catalogué dans les collections des sept musées de la Vallée Pionnière du Massachusetts, Amherst Mead art.
- « Quinze dessins de figurines » exécutés chez Worth Paris dans les années 1930 conservées à Londres au Victoria and Albert Museum, Department of Prints and Drawings and Department of Paintings Accessions 1957.
- « Le Vainqueur » Musée de Fontainebleau.
- « Portrait du général Augustin Guillaume », Musée départemental des Hautes-Alpes, Gap.
- Achats de l’État :
- Symphonie fantastique, trois panneaux décoratifs destinés au Conservatoire national de musique, (CNSM), huile sur toile. Achat par commande à l'artiste en 1948, exécuté dans l'atelier de l'artiste et achevé en 1951
- « Étude pour la danse », huile sur toile, 1944 exposée à l’Assemblée nationale.
- « Œillets dans un pichet d’étain », toile enregistrée au FNAC Fonds national d’Art contemporain.
- « Paysage », 1958exposé au Sénat.
- « Fleurs », 1949.
- « Arlequin à la guitare », 1953.
- Acquisitions de la Bibliothèque nationale de France :
- Quatre-vingt-quinze maquettes de décor et costumes de théâtre.
Citation
B. Duplessis, in « Jean-Denis Maillart, entre l'intemporel et le concret », Connaissance des Hommes, mars- n 119, écrit :
« C'est par son art du portrait que Jean-Denis Maillart marqua le plus son époque car il est un des rares à avoir représenté avec autant d'heureuse inspiration le visage de ceux qu’il a voulu peindre ou qui lui ont demandé de fixer leurs traits pour longtemps. Il a reconnu d'ailleurs : « J'ai toujours été fasciné par le visage humain », ajoutant – et c'est révélateur : « Lorsque j'écris un visage, j'assouvis un désir ». Les mains ont aussi pour lui une très grande importance : « La main accuse ce que le visage peut ou veut masquer. ». »
Publications
- « Fresques - Blonville sur Mer » par Jean-Denis Maillart. Paris, Arts et Mémoires, 2016, 70 p. Bilingue français anglais. Préface du R.P. Riquet,
- Jean-Denis Maillart (préf. Paul Guth), Esquisse d'un portrait de Laure Albin Guillot, Paris, Arts et Mémoires, , 99 p.
- Conférence de Jean-Denis Maillart « Napoléon III ou le Mécénat d'État» prononcée au Grand Casino de Vichy le à la demande de Philippe de Chaunac à l’occasion de la rénovation des lieux de cure.
