Hélène Collerette

Hélène Collerette est une violoniste française et québécoise, élève de Pierre Amoyal (Conservatoire de Lausanne), Vladimir Landsmann (Université de Montréal) et de Langis Breton (Conservatoire de Chicoutimi, 1987).

• 2015 à aujourd'hui. Trio à cordes de Paris
• 1996 à aujourd'hui. Orchestre philharmonique de Radio-France. Violon, super soliste.
• 1995 à aujourd'hui. Quatuor Renoir. Violon solo.
• 1995-1996. Orchestre de l'Opéra national de Lyon. Premier violon solo.
• 1992-1994. Orchestre de Mulhouse (Luca Pfaff, dir.). Premier violon solo.
• Orchestre symphonique de Munich
• Symphony Jupiter de New-York
• Violons du Roy de Québec
• Orchestre de chambre de Lausanne
• Orchestre symphonique de Montréal
• Trio Nelligan, violon

Un Guarneri del Gesù depuis 2015

Un violon Vuillaume de 1851

• 1991. Lauréate du Concours international de violon Tibor-Varga
• 1990. Premier prix de virtuosité (Conservatoire de Lausanne)
• 1990. Licence de concert (Conservatoire de Lausanne)
• 1990. Lauréate du concours de l'Orchestre symphonique de Montréal et du Conseil des Arts du Canada

• 2015 "Norigine" pièces pour violon seul de compositeurs nordiques
• (Violoniste au son unique, Hélène Colerette rend hommage aux compositeurs du Grand Nord de Esa-Pekka Salonen à Serge Acuri, de Svante Henryson à Jacques Hétu sans oublier Carl Nielsen.
• 2006 (avec le Quatuor Renoir). « Schumann », éditions Zig-Zag Territoires

• 2005 avec l'Orchestre Philharmonique de Radio France et le Quatuor Renoir). P. Hersant. Chants du Sud, Paris: Radio France & Naïve. DLS-20060512-3987

• 2004 (avec l'Orchestre Philharmonique de Radio France). S. M. Liapounov. Symphonie N°2, opus 66 (E. Svetlanov, dir.), Paris: Radio France & Naive, enregistrement en public, novembre 1998

• 2001 (avec le Quatuor Renoir). « Les Quintes », de Joseph Haydn; le Quatuor n°1, op.44, de Félix Mendelssohn, éditions Classica

• 2001 (avec le Quatuor Renoir). « Quatuor en fa majeur, op.18, n°1 », de L. v. Beethoven; « Ainsi la nuit », de Henri Dutilleux; « Langsamer Satz », M.78, d’Anton Webern, éditions Déclic (avec le soutien de l'AFAA)