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France
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Alain Girelli
French sculptor

Alain Girelli

The basics

Quick Facts

Intro
French sculptor
Places
Work field
Gender
Male
Birth
Place of birth
Draguignan, France
Age
77 years
The details (from wikipedia)

Biography

Alain Girelli (né le à Draguignan) est un sculpteur, peintre et performeur français. Il vit et travaille à Fayence. Au contact de Max Ernst, qui a vécu à Seillans ses treize dernières années (de 1963 à 1976), son désir de créer va naître et se déployer dans des œuvres figuratives puis de plus en plus abstraites et conceptuelles.

Biographie

Sa famille originaire de Pérouse en Ombrie est dans le bois depuis des générations : bûcherons, charbonnier, exploitants forestiers. Il poursuit la tradition familiale en passant son CAP menuiserie en 1966. Après son service militaire, il est employé à partir de 1969 dans la menuiserie Francis Laboire de Seillans. Il fabrique des portes, des fenêtres, des escaliers, dont un escalier tournant, un exercice particulièrement difficile, puis devient rapidement chef d’atelier.

À cette époque, Max Ernst, le grand artiste Dada et Surréaliste habite à Seillans avec sa femme Dorothea Tanning. Il s’est installé dans ce petit village à la suite d’une visite chez son ami Patrick Waldberg, un critique d’art proche des surréalistes, époux d’une femme du village. La légende dit que pendant la guerre, il aurait été parachuté à Seillans où il serait tombé amoureux de la jolie seillanaise. Max Ernst, séduit par le village, décide d’y acheter une maison en 1964. A peine installé, il peint une toile joyeuse : « La fête à Seillans ». Pour ses travaux sur bois, il fait appel à la menuiserie où travaille Alain Girelli qui, dès le premier contact, est séduit par l’artiste.

Une très vieille porte de cave du village à la partie inférieure érodée par les écoulements d’eau attire l’œil de Max Ernst qui propose à son propriétaire de lui en acheter une neuve s’il veut bien en échange lui donner celle rongée par le temps. Girelli s’occupe de l’opération : fabriquer la nouvelle porte, la mettre en place, récupérer l’ancienne, la fixer sur un panneau. Max Ernst la renverse et la transforme en une de ses D-paintings, D pour Dorothea pour qui, chaque année, il créait une œuvre (cette œuvre est présente dans le catalogue de Max Ernst au Museum Brühl). Girelli s’arrange avec son patron pour se mettre au service de l’artiste. À son contact, il pénètre un univers inconnu. Ses « forêts » peintes, gravées ou grattées le fascinent. Tout ce qu’il découvre chez l’artiste le nourrit, lui ouvre des perspectives impensées jusque-là. Il l’observe, lui pose des questions, s’imprègne de son univers et, rapidement, l’envie de créer va naître.

Girelli, fort de sa grande connaissance du bois, réalise sa première œuvre : une chaise-trône à haut dossier, pourvue de marches. Cette création est faite de bois assemblés « avec seule une râpe comme outil ». Un champ de création s’ouvre. Il explore différents bois, ce matériau faisant partie du patrimoine familial mais jusque-là mis au service de l’utile.

Non issu d’une nécessité si ce n’est celle de créer, le bois prend d’autres dimensions que Girelli explore : bois flottés ou bois lacustres coupés à la pleine lune qu’il laisse sécher après en avoir ôté l’écorce. Ses premières œuvres portent déjà la marque d’un style, d’une vision.

Présentant un dossier à la Maison des Métiers d’Art Français, il lui sera proposé de participer en 1972 à une exposition en compagnie d’artistes de la région (Van Lith, Coville, Pelletier, etc.). Un article paraît en 1972 dans Le Monde.

Anne Gruner Schlumberger, amie de Max Ernst, qui habite à Tourtour, voit ses meubles à l’exposition des Métiers d’Arts. Elle lui passe commande de « sculptures-arbres » et de meubles d'artiste (pièces uniques) pour ce qui deviendra sa Fondation des Treilles, notamment pour les maisons d’hôtes construites par l’architecte Pierre Barbe ou les anciennes masures rénovées du domaine.

Tout en continuant à travailler pour Max Ernst, il crée une nouvelle gamme de meubles (chaises et tables surtout) qui va avoir du succès. Elle intéressera les frères Méchiche, décorateurs et galeristes de Paris, ses premiers acheteurs, qui ont vu ses chaises dans plusieurs revues professionnelles. La galerie Saint Jacques intéressée achète le prototype « chaise ondulante » qui avait été créé pour la Galerie Alumine rue Bonaparte à Paris.

C’est ensuite la galerie Saint Jacques de Toulouse qui sera séduite par son travail. Il crée pour elle une chaise ondulante, un prototype qui fera partie de l’équipement mobilier du restaurant de la Tour Eiffel.

Ses réalisations trop fragiles pour rester à l’extérieur. Jean-Louis Prat, directeur de la Fondation Maeght, lui conseille de trouver un matériau résistant et imputrescible (courrier de 1976). Il pense alors au bois de cade, une espèce de genévrier (juniperus oxycedrus) présent dans la région, dont on tire de l’huile antiseptique et anti-parasitaire, habituellement utilisée pour soigner la gale des moutons. Il récupère souvent le bois de ces arbres morts à la suite d'incendies (imputrescibles, ils restent sur pieds plusieurs dizaines d'années). Jean Mas écrit un article sur la captation des forces chtoniennes par l’artiste.

Ses qualités imputrescibles et odorantes, sa dureté,intéressent Girelli qui, avec ce nouveau matériau, réalise une série importante de nouvelles sculptures qu’il va laquer et patiner en noir.

Un nouveau vocabulaire graphique de formes simples et pures va naître, mais la légèretédes bois séchés oblige Girelli à trouver une solution pour obtenir une meilleure assise et un nouvel équilibre. Il intègre alors des pierres naturelles travaillées par le temps qu’il choisit pour leur apparence, leur esthétique et leur poids. Il les gravera par la suite, inscrivant des signes inspirés par les écritures primitives de Max Ernst.

En février 1977, il est invité à une exposition importante Le Bois et l’Homme qui aura lieu à l’aéroport d'Orly où seront exposés des chefs-d’œuvre du Musée de l'Homme. Un article paraît dans Nice Matin. L’émission de télévision Marche ou rêve, où il est interviewé par Georges Bégou, sera enregistrée à cette occasion. Son Grand Arbre sera vu par des millions de téléspectateurs. La fin de l'année, il accompagne Dorothea Tanning à Paris pour le transport des œuvres de Max Ernst et séjournera chez eux rue de Lille.

En mai 1978, la galerie parisienne Lucie Weil présente des œuvres de Girelli à côté de celles de Picasso, Miró, Max Ernst, Masson, etc. Jean-Paul Crespelle, critique d’art de France-Soir, le met en contact avec le sculpteur César qui appréciera son travail et l’encouragera à se dépasser, à créer des « trônes en délire ».

En 1980, au Salon de Fréjus dont le conseiller artistique était Olivier Lépine, il rencontre des architectes parisiens qui lui conseillent de réaliser des œuvres pour l’espace public, leurs qualités graphiques se prêtant à la monumentalité. Suivant leur conseil, Girelli réalise des sculptures monumentales, jusqu’à quatre mètres de haut, en bronze, en ciment ou en acier Corten. Un article parait dans Var Matin. Le 21 juillet 1982, Nice-Matin publie un article sur l'artiste.

En 1983, il reçoit de la société d’autoroutes Escota la commande d’une sculpture monumentale en bois imputrescible qu’il nomme Soleil couchant pour l’autoroute Estérel-Côte-d'Azur (dans le cadre du 1%) et réalise ainsi sa première sculpture monumentale en béton coloré dans un atelier spécialisé de Lafarge à Draguignan. Elle sera définitivement installée au Musée d'art contemporain de Châteauvert. En 1986, il reçoit la médaille d’or du Salon FAM de Tourrettes-sur-Loup. Le jury est composé de conservateurs de musées et d’artistes. La revue Art Thèmes publie un article sur son exposition dans la salle du couvent de Seillans. La revue Maison française consacre plusieurs pages à ses œuvres.

En 1988, Mireille Mathieu et son impresario Johnny Stark, qui ont vu ses sculptures au salon-départ du Concorde à l'aéroport de Roissy, lui achètent des œuvres. La même année, il est invité à l’émission de Jean-Luc Lahaye Lahaye d'honneur en 1988.

À Cannes, l’année suivante, il fait la rencontre d’Henri Goetz (qui exposait aussi aux Rencontres d’art contemporain de l’ancien Palais Croisette). Goetz est un graveur célèbre, inventeur de nouvelles techniques (gravure au carborendum, qui trouve dans les œuvres de Girelli « de grandes parentés avec ses formes et de grandes qualités de structure et de discipline en même temps qu’une poésie du mouvement ». Il lui proposera un échange.

Le grand collectionneur Jacques Ginepro, expert en sculptures des XIX et XX siècles lui achète des œuvres dont Gertrude, une de ses représentations féminines. En 1999, il le parraine pour entrer au Bénézit, le dictionnaire de référence des plasticiens. Trente lignes lui sont consacrées : « Girelli ne cherche pas l’anecdote mais désire insuffler un mouvement, une expression à la matière ce qu’il fera dans ses Totems ».

À partir de cette époque, il sera présent dans de nombreux salons et foires internationales comme Art jonction ou l’Exposition internationale de sculpture contemporaine du château royal à Collioure (1991-92), puis en 1991 à Grasse, Espace Chiris.

En même temps que ses sculptures monumentales en acier Corten il décline avec la collaboration de Claude Pelletier, orfèvre de Biot des sculptures-bijoux en pierres semi-précieuses, notamment portée par Yvonne Desseux, la secrétaire d’Aimé Maeght.

En 1992, sa première exposition personnelle, Cinquante sculptures, a lieu au Palais de l’Europe à Menton. Un catalogue des œuvres est édité par le Musée. La même année, il obtient un Premier Prix au Festival des Arts de Beaulieu, prix qui consiste en la possibilité de réaliser sa première œuvre en bronze. Il découvre alors l’univers des fonderies. Dans un article de la revue Gala consacré à Karen Chéryl, plusieurs sculptures de Girelli sont présentes sur quatre pages.

La peinture pénètre ensuite dans ses travaux, d’abord par les bois colorés de ses « Totems », puis par des dessins géométriques multicolores apposés sur le fond blanc de ses sculptures.Son originalité est de peindre sur des formes sculptées : « la peinture se pose et "dépose" sur la sculpture qui se pare et s'empare de ses reflets. La forme accompagne à "dessein" la couleur pour que vive l'instant d'une rencontre pérennisée » (Jean Mas)

En 1996, à l’Espace Eiffel, il réalise une performance dans laquelle il effectue le moulage de la main et de la cheville de son épouse Dany, performance financée par les célèbres chocolats fins des ateliers Puyricard, filmée par l’Ecole du Journalisme de Paris. La revue Résidences présente ses sculptures.

Cette même année, la revue américaine Architectural Digest publie un article avec plusieurs photos de ses œuvres.

Exposé au Jubilé de Monte-Carlo en 1998, il fait la connaissance de Son Altesse le Prince Albert de Monaco (Prince de Monaco depuis 2005)s’assoit sur Le Trône du Roi de la Forêt en bois de cade et pierres naturelles.

En 2000, Sœur Emmanuelle déjeune chez lui à Seillans. Elle s’assoit sur une de ses chaises hautes. C’est alors qu’un chat blanc, sourd, habituellement très sauvage a un comportement surprenant en grimpant auprès de Sœur Emmanuelle.

En 2003, publication d'un article dans Le Var Informations.

Les expositions se succèdent. La Galerie Européenne de la Forêt et du Bois présente pendant six mois ses œuvres. Il expose ensuite à New York (sculptures achetées par Nathan Galleries) à La Nouvelle-Orléans, Tokyo, puis Paris.

Ses œuvres sont présentes dans de nombreuses collections privées dans le monde et en permanence dans des galeries privées comme la galerie Frédéric Gollong à Saint Paul de Vence et dans les Galeries Jean-Luc Méchiche, 182 rue de faubourg Saint-Honoré et Frédérique Mechiche, rue de Thorigny.

En 2007,inauguration de « Loplop, le supérieur des Oiseaux, au caractère doux et féroce » en hommage à Max Ernst , un trône conçu pour lui. L’artiste Pierre Pinoncelli s’y assoit. Un reportage a été fait dans Supérieur Inconnu avec une dédicace de Sarane Alexandrian, essayiste, romancier, historien d’art et critique littéraire français appartenant au mouvement surréaliste.

Revue Architecture contemporaines en Provence avec Luc Svetchine, architecte, fils de Andreï Svetchine, auteur du musée Léger de Biot

En 2013 dans AD , présentation d’une maison de maître où figure une chaise de Girelli.

Toujours en 2013, du 1er au 28 juillet, il réalise une exposition à Seillans en hommage à Max Ernst. Un petit reportage vidéo, dans lequel Alain Girelli explique sa démarche, a été réalisé pour l'occasion.

En 2012, il participe au Festival du Peu de Bonson

L’art de Girelli est multiple, d’un figuratif enraciné à une abstraction radicale.

Œuvres dans l'espace et les collections publiques

  • La Fondation des Treilles, 1973
  • Ecole Maternelle Les Canoubiers, Cagnes sur mer, 1978
  • Ecole de Tourrettes, Var, 1979
  • École de Mons, Var, 1983
  • Escota, Autoroute Esterel-Côte d’Azur, aire "Jas de Pellicot", sortie de Puget-sur-Argens (83), 1883
  • Complexe Sportif des Lices à Toulon,1984
  • École du Muy, Œuvre monumentale en arbres de cade, Var, 1986
  • Centre d'Art Contemporain de Châteauvert : Sculpture monumentale Béton (procédé breveté INPI ), reportage dans la revue Art thèmes, 1987
  • Galerie Municipale d'Art Contemporain Remp'Art à Toulon; 1990 (sculpture de trois mètres de haut en acier, acquise par M. le sénateur-maire de Toulon, le Docteur François Trucy), placée ensuite à la Mairie Annexe de Toulon.
  • Musée de Menton, 1992
  • Musée Wallraf–Richartz Museum à Cologne en Allemagne, 2020

Expositions

Personnelles
  • 1978 : Exposition Galerie Lucie Weil,décembre et janvier 1977-1978 et du 25 mai au 12 juillet 1978, Paris.
  • 1984 : Exposition individuelle de 15 sculptures dans l'aérogare de l'aéroport Nice-Côte d'Azur (06), 1er-31 juillet.
  • 1987 : Rétrospective Alain Girelli, parrainée par Express-béton et les Ciments Lafarge-France, à la salle du Couvent de Seillans,21 août-3 septembre.
  • 1989 : Exposition personnelle à l'aéroport Roissy-Charles de Gaulle (9 mai-15 juin)
  • 1990 : Exposition personnelle de 20 sculptures dans l'aérogare de Roissy-Charles de Gaulle au 2B, départs métropole.
  • 1992 : Exposition personnelle au Palais de l’Europe de Menton, présentation de 50 sculptures dont une monumentale de 3 mètres en acier, catalogue publié.
  • 1993 : Exposition : 30 sculptures dont un trône pour "Loplop l'Homme supérieur des oiseaux, à cause de son caractère doux et féroce" en hommage à Max Ernst, Seillans.
Collectives (sélection)
  • 1987:Cinquièmes Rencontre des Artistes Contemporains, organisée par l'association "Défense des Arts Plastiques", au Palais Croisette à Cannes (06), 1er-30 septembre
  • 1987 : Acropolis Nice, exposition 80/80 Artistes Méditerranéens
  • 1988 : Sculpture en Liberté, organisée par la ville de Toulon
  • 1989 : MAC 2000, Manifestation d'Art Contemporain au Grand Palais à Paris, 24 novembre-3 décembre
  • 1993 : Céramiques-Peintures-Sculptures dans la ville, Cannes
  • Salon Art Jonction où la Galerie 50 A, présente une grande sculpture, septembre -14 novembre 1993, Cannes
  • Festival des Arts de Beaulieu
  • Castel des Arts, organisée par le groupe Quartz, septembre-octobre
  • Céramiques-Peintures - Sculptures dans la Ville à Cannes
  • 1994 : Festival des Arts, Beaulieu-Sur-Mer, juillet-aout 1994
  • Sculptures, Peintures, Photographies, Castel des Arts
  • Galerie Métropole à Monaco, exposition d'Art Contemporain organisée par le groupe Quartz,
  • 1995 : Salon Comparaison, Espace Eiffel, Paris, 7 au 23 avril 1995
  • 1996 : Grands et Jeunes d’aujourd’hui, Espace Eiffel, Paris, Peinture Sculpture du 8 au 17 novembre 1996
  • 1997 : Grands et Jeunes d’aujourd’hui, 1997, Espace Eiffel, Paris, Peinture Sculpture du 4 au 14 juillet 1997
  • Grands et Jeunes d’aujourd’hui 2000 Espace Eiffel, Paris,
  • Peinture Sculpture du 17 au 26 novembre
  • Festival des Arts de Beaulieu
  • Rencontres des Artistes Contemporains, Palais des Festivals, Cannes
  • 2000 : Comparaison 2000, Espace Eiffel, Paris, janvier au 6 février
  • Festival des Arts de Beaulieu, été
  • 2007 : Revue Architectures Contemporaines en Provence avec Luc Svetchine architecte auteur du Musée Léger de Biot.
  • 2002 : Comparaison, L'art Actuel, 24 janvier au 4 février 2002 Espace Auteuil, Paris
  • 2004 : Comparaison, L'Art Actuel 22 janvier au 1er février 2004, Espace Auteuil, Paris
  • 2006 : Comparaison’', "Art en Capitale", Les Semaines de L'Art Actuel, du 9 au 20 novembre 2006 Grand Palais, Paris
  • 2012 :Festival de Peu, Bonson, avec performance à l'encens de cade.
  • 2013 : Exposition avec performance au Festival du Peu de Bonson
  • Exposition Hommage à Max Ernst par Alain Girelli. Du 1er au 28 juillet 2013, à Seillans, 83440,
  • 2020 : Exposition avec performance au Festival du Peu de Bonson
  • En permanence à la Galerie Gollong de Saint Paul de Vence et la Nathan gallery à Broadway

Prix

  • 1987 : Médaille d'argent au grand prix de peinture et de sculpture des Cent Ans de la Côte d'Azur, à Tourettes-sur-Loup (06).
  • 1989 : Médaille d’or de Nice Communication.
  • 1989 : Premier prix de la Ville de Saint-Jean-Cap-Ferrat à l'exposition Septembre des Arts.
  • 1992 : Premier Prix au Festival des Arts de Beaulieu, prix qui lui offre la possibilité de réaliser sa première œuvre en bronze.

Publications d'œuvres et d'articles dans journaux et revues d'art (sélection)

  • Couverture de la revue Maison n° 23, 1978
  • Décoration Internationale, n° 41, 1980
  • Décoration Internationale, juillet-août 1982
  • Maison Française, n° 380, septembre 1983
  • Gala, chez Karen Cheryl, 1984
  • Couverture de Maison et Maison française, juillet-août 1984
  • Maison Française, plusieurs parutions avec galerie Frédéric Méchiche et Luc Svetchine
  • AD, juillet 1996 et 2013
  • Art thèmes,octobre-novembre 1986 etmai 1987
  • Nice-Matin Toulon, 23 Février 1990
  • Toulon Magazine, n°3 Juin 1990 ( pour la sculpture monumentale )    
  • AD, juillet 1996 et 2013
  • Nice matin, Magazine des Arts, 29 mai 1994,
  • Magazine La Région, n° 105, septembre-octobre 1994
  • Nice Matin, 4 mai 1985, juin 1990,19 novembre 1995, 12 mai 1996 , 3 novembre 1996
  • Dimanche magazine, 19 novembre 1995
  • Page des arts du Dimanche Magazine de Nice-Matin, 9 avril 1996.
  • Var-Magazine, 9 Mai 1994
  • Figaro Méditerranée,  2 octobre 1999
  • Architectures Contemporaines,1999
  • Nombreuses collaborations avec Luc Svetchine pour des magazines de décoration et d'architectures contemporaines en Provence.
  • Casa, mai-juin 2001
  • AD, n°20, mars 2002
  • Var informations, Mai de l’Art, Festival Transdisciplinaire à Saint-Raphaël, mai 2005
  • Ville Giardini, octobre 2005
  • Figaro Magazine,du 6 avril 2007

Performances

  • 1983 : Performance Jardin des Arts à Fayence, filmée par France 3 Côte D'Azur pour le 19/20 ;
  • 2011 : Avec un groupe de dix enfants de l'école de Callian et une intervention de Pierre Pinoncelli, filmée par Art Côte d'Azur ;
  • 2011 : Espace d'art Alainjuno (en présence de Jean Mas), du 1er au 30 octobre 2011 ;
  • 2012 : Festival de Peu de Bonson avec une performance à l'encens de Cade ;
  • 2013 : Performance pour l'exposition en hommage à Max Ernst à Seillans ;
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