Biography
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Quick Facts
Intro | Botanist | |||
Places | France | |||
was | Scientist Botanist Physician Historian | |||
Work field | Healthcare Science Social science | |||
Gender |
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Birth | 15 November 1771, Paris, Seine, Île-de-France, France | |||
Death | 12 July 1841 (aged 69 years) | |||
Star sign | Scorpio | |||
Family |
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Education |
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Biography
Jean-Baptiste-Denis Bucquet, né le à Paris et mort le , est un botaniste, historien et médecin français.
Biographie
Médecine
Fils du chimiste Jean-Baptiste-Michel Bucquet, il commence ses études au collège Sainte-Barbe qu'il quitte en 1787 ; puis il entre, sur les conseils de sa mère, dans la carrière médicale. Il est attaché à l'Hôtel-Dieu d'abord comme élève externe, dans le service de Jean-Nicolas Corvisart ; puis comme interne.
Bucquet épouse à Paris, en 1793, M Balluet des Tournelles. Il effectue son voyage de noces à Niort, en qualité de chirurgien de deuxième classe de l'armée de l'Ouest. Les pérégrinations de la campagne le ramènent en 1798 à Laval où il s'établit.
- Jean-Baptiste-Michel Bucquet, époux de Marie Claude RADDE
- Jean Baptiste Denis 1771-1841, époux d'Alexane Irène Louise Françoise BALLUET
- Alexandrine Claude Denise 1797-1843
- Louis Marie Anatole 1814-1872, époux de Marie Françoise d'AUBIGNEY 1830-1893
- Marie Françoise Cécile 1856-1872
- Jean Baptiste Marie Théodore Henri 1857-1928, époux de Marie Anne Thérèse Geneviève GRIFFATON 1864-1943
- Henri Louis Marie Jean Baptiste 1886-1961, époux de Anne Marie LONFRIER 1893-1981
- Marie Louise Josèphe Cécile 1887
- Joseph Marie Jean Baptiste 1889-1918
- Louis Pierre Marie Jean Baptiste 1891-1931, époux de Yvonne Louise Marie Antoinette BUCQUET 1889
- Jean Baptiste Joseph Marie François, époux de Madeleine Yvette Marie COSTA
- Yves Louis Marie Jean Baptiste, époux de Thérèse Marie Camille GAUTHIER
- François Marie Jean Baptiste 1893-1915
- Thérèse Marie Geneviève 1897
- Jeanne Marie Françoise 1899-1976
- Cécile Anne Marie 1906-1976
- Jean Baptiste Marie Anatole 1858-1935, époux de Louise Noémie LELIÈVRE 1864-1910
- Marie Françoise Cécile 1886-1972, épouse de Ernest Léon Alexis CAIGNÉ
- Jean Baptiste Anatole Marie Auguste 1887-1914
- Madeleine Marie Josèphe Zélie 1888-1975
- Yvonne Louise Marie Antoinette 1889, épouse de Louis Pierre Marie Jean Baptiste BUCQUET 1891-1931
- Anatole Pierre Marie Jean Baptiste 1892-1976, époux de Madeleine Marthe Marie Juliette LAIR de la MOTTE 1891-1957
- Brigitte Marie Marthe Louise Madeleine Marguerite
- Anatole Pierre Marie Jean Baptiste 1892-1976 &1940 Raymonde Marie Thérèse R... Jeanne LOLUM
- Louise Jeanne Marie 1897-1951
- Jean Baptiste Marie Gustave 1864-1913, époux d'Eugénie Victoire BOIDENZ
- Ernestine
- Jean Baptiste Denis 1771-1841, époux d'Alexane Irène Louise Françoise BALLUET
Laval
Rentré dans la vie civile, il a des débuts assez difficiles : en butte à l'hostilité mal déguisée de ses confrères, il ne trouve guère d'appui que chez l'ancien conventionnel René-François Plaichard Choltière. Il devient néanmoins en 1799 médecin des prisons de Laval et la même année, le 4 messidor an VII, il est chargé de suppléer dans la chaire d'histoire naturelle de l'École centrale de Laval le professeur titulaire Jean Baptiste Fanneau de Lahorie.
Bucquet le remplace et commence ses leçons par l'étude des minéraux. A l'expiration de son mandat législatif, Fanneau accepta le poste de conservateur des forêts de Liège ; Bucquet fait alors valoir ses titres auprès du préfet de la Mayenne, qui le nomma professeur titulaire le 18 ventôse an XI ; il inaugure son cours par l'étude des corps.
Bucquet est libéré de ses fonctions pédagogiques lors du remplacement de l'École centrale en École secondaire. Il reste néanmoins à la tête du jardin botanique, mais voit disparaître la pépinière qu'il avait eu tant de peine à planter.
Bucquet se consacre alors à la médecine. Dès pluviôse an XI (1803), il présente et soutient sa thèse devant l’École de médecine de Paris. Le 19 messidor an XI, il est nommé médecin titulaire de l'hospice de Laval, et par arrêté préfectoral du 18 vendémiaire an XII (), secrétaire du conseil de santé des hôpitaux.
Sur la recommandation du préfet Harmand, le ministre de l'intérieur le crée membre du Jury médical du département. En l'an XIII, Bucquet est investi de la charge de médecin des épidémies de l'arrondissement.
Sociétés savantes
Vers la même époque, il est nommé membre correspondant de la Société de l’École de médecine de Paris.
Bucquet transmet régulièrement des communications :
- le 8 messidor an XIII, une observation d'accidents nerveux graves après une pyrexie guéris par la galvanisation;
- le , un cas de diathèse cancéreuse chez un enfant ;
- le , un mémoire sur une luxation du genou en arrière.
Bucquet fait encore partie de nombreuses commissions et sociétés savantes : il fut correspondant de la Société d'agriculture de Seine-et-Oise, de la Société libre des arts du Mans, et, en 1809, correspondant de la Société de médecine de Paris.
Le 8 messidor an XI, Plaichard, en collaboration avec Jean-Baptiste-Denis Bucquet, envoie à la Société de l'école de médecine de Paris, par l'intermédiaire du préfet de la Mayenne, une curieuse pièce anatomo-pathologique.
En , la Société de l'École de médecine de Paris tient sa dernière séance; la création de l'Académie royale de médecine la rendait désormais inutile. Bucquet est nommé membre correspondant de l'Académie de médecine. D'après les Mémoires de l'Académie de médecine, Bucquet aurait été nommé cor respondant de l'Académie le .
Botaniste
Botaniste ; il parcourt la Mayenne, pour enrichir son herbier et faire des échanges avec Jean-Marie Bachelot de La Pylaie. Il organise le Jardin botanique de l’École centrale de Laval qui finit par contenir 1 300 végétaux exotiques et plus de 3000 espèces indigènes, classées d'après le système de Linné. Il crée en outre une serre, orgueil du jardinier Doudet, et plante une pépinière modèle. Sa qualité de directeur du Jardin lui donnait le droit d'habiter dans la cour du Collège, et il occupe ce logement jusqu'en 1837.
Bucquet est donc un des premiers botanistes de la région, un précurseur de Narcisse Henri François Desportes et des auteurs anonymes du Catalogue de 1838. Son herbier, qui est offert par son fils au Musée des sciences de Laval renferme des raretés locales.
Minéralogiste
Le cabinet d'histoire naturelle de l’École centrale était fort pauvre et Bucquet parcourt les carrières voisines de Laval pour l'enrichir. Il note les principales roches de la Mayenne, les marbres de Saint-Berthevin et noir d'Argentré, les calcaires de Laval, de Saint-Germain-le-Fouilloux chargés d'empreintes de coquillages ; la « mine limoneuse en rognons ou en grains » d'oxyde de fer, abondante à Evron, Châtres, Saint-Christophe, Saint-Pierre-la-Cour, du Bourgneuf, et exploitée par cinq grosses forges ; et les concrétions calcaires des grottes de Saulges, et la serpentine de Montigné.
Il est l'auteur des notices d'histoire naturelle départementale insérées dans l' Annuaire de la Mayenne pour l'an XII. Il est un précurseur d'Eugène Boullier et de Édouard Blavier.
Bucquet codifie à l'usage de ses élèves une partie de ses observations ; il compose des Tableaux élémentaires d'histoire naturelle pour servir aux leçons de l’École centrale de la Mayenne, Laval, an IX et an X.
Historien
Il a entrepris de grands travaux statistiques sur Laval. Il avait aussi le goût des recherches historiques, et notait soigneusement toutes les découvertes qu'il faisait en ce genre.
Par suite de diverses circonstances, les matériaux qu'il avait rassemblés sont en partie perdus.
Le docteur Bucquet, médecin de l'hôpital Saint-Julien de Laval, en effectur le dépouillement vers 1820, et pour résultat de son travail, il publia dans l' Annuaire du département de la Mayenne pour 1838, une Notice historique sur les hôpitaux de la ville de Laval. Ce travail est la première étude sur la géographie médicale mayennaise.
Bucquet écrit en 1808 la Topographie médicale de la ville de Laval et de son territoire, communiquée le à la Société de l'École de médecine.
- Bucquet commence par invoquer Hippocrate. Bucquet s'en inspire à l'image de ses contemporains : il cit ebeaucoup de passages. Il dresse une esquisse de l'histoire de Laval, sur sa description du pays, du climat, des productions naturelles, de la nature du sol : le bassin de Laval, quoique sans grands reliefs, n'est jamais plat, toujours ondulé, mamelonné par mille coteaux enchevêtrés, coupés de vallons où courent de nombreux ruisseaux ; des mares stagnent dans tous les trous, dans les chemins creux, impraticables en hiver, bourbiers au printemps, ornières desséchées en été ; trop souvent l'eau est trouble, infestée de débris organiques en putréfaction, et les gens viennent en puiser là où les bêtes ont déjà barboté. Le climat est froid, humide, incessamment rafraîchi par les nuages et les brouillards de la Manche qui prolongent les hivers et font l'automne plus précoce. Les habitants qui vivent sous ce ciel ont une hygiène déplorable. L'enfant est sale, allaité par de mauvaises nourrices, ou gavé d'un lait aigri dans des biberons malpropres ; dès six mois, ou plus tôt, on le bourre d'une lourde bouillie de sarrasin cuite dans un poêlon crasseux, de soupe même ! Si l'enfant parvient à vivre et à grandir, malgré ce régime, le surmenage précoce, les journées entières passées à faire courir la navette sur la trame du métier, au fond d'une cave noire, accroîtront sa misère physiologique, dans la classe pauvre. Aussi la mortalité infantile est-elle effroyable : les quinze centièmes des enfants meurent au cours de la première année, un tiers avant dix ans. L'adulte vit de soupe, de lourdes galettes de blé noir, de pain de seigle ou de sarrasin mal levé, mal cuit; il mange rarement de la viande, et boit de l'eau croupie, prise au puits proche du fumier ; il s'en dédommage le dimanche au cabaret, en avalant de nombreuses bolées de cidre, ou des verres d'eau-de-vie de cidre, et rentre cuver son ivresse dans une maison sans étage, basse, humide, presque aussi sombre que la cave à tisser, et dont le plancher de terre battue recueille précieusement tous les miasmes et s'imbibe de toutes les ordures. Le Lavallois — le Mayennais, en général — n'est ni très imaginatif ni très intellectuel ; son jugement est sain, mais lent, et il cache sous une écorce un peu épaisse, un bon sens robuste doublé d'une roublardise tenace ; paysan, il aura une méfiance très grande pour toute innovation; petit propriétaire terrien, il vivra, casanier, dans la routine de ses petites occupations, de ses petites habitudes, lisant peu, chassant, péchant, mangeant bien, buvant volontiers et dormant mieux encore ; il n'est pas très gai, pas très triste non plus, indolent, apathique. Les femmes, tard formées, tôt fanées, ne sont guère plus exubérantes que les hommes, et vieillissent vite. Enfin, sous le rapport de la propreté, la Mayenne ne ressemble que de très loin à la Hollande. L'auteur passe à l'énumération des maladies endémiques : Ici, le chorion est dense et serré, la peau flasque et sans force expulsive, toujours imbibée par une atmosphère humide, nullement dissolvante, son inhalation est considérable Il ne peut dès lors rien transpirer et toutes ces matières viciées retenues donnent naissance aux altérations des liquides et facilitent celles de la peau. Il attribue à cette pathogéniela fréquence des dermatoses, teignes, gale, impétigo, etc. La gastro-entérite et le muguet sévissent d'une façon désastreuse sur les nourrissons ; le muguet, si fréquent, et presque toujours méconnu, ce qui occasionne la mort d'un très grand nombre d'enfants parce qu'il devient confluent et qu'il gagne le tube intestinal. Le rachitisme, dû aux mêmes causes, est banal ; la scrofule aussi domine : un tiers de la population en présente, d'après Bucquet, les stigmates frustes ou atents ! La péritonite tuberculeuse, la phtisie pulmonaire, surtout, moissonnent chaque année un fort contingent ; il signale encore la fréquence du goitre, de l'idiotie, de l'imbécillité, de l'épilepsie, et enfin des manifestations arthritiques : goutte, rhumatisme, cancer. Il consacre encore quelques pages à l'affection de la rate bien fréquente, dit-il, parce que les forces digestives doivent être écrasées, le système de la veine-porte embarrassé et les vaisseaux chylifères disposés à l'engouement dans un pays où la transpiration est sans cesse contrariée par l'humidité froide des habitations et de l'atmosphère, où la circulation abdominale est ralentie par une vie sédentaire qui concourt puissamment à refroidir la surface du corps, où enfin la nourriture est lourde, acescente, et dépourvue de sucs nourriciers. Sur le tableau symptomatique Bucquet englobe probablement des cas de péritonite tuberculeuse avec ascite, de cirrhose de Laënnec, et surtout de paludisme : c'est avec raison qu'il incrimine à ce dernier point de vue, comme son maître Hippocrate, les eaux sans mouvement et sans profondeur telles que ont les nôtres, bibentibus autem lienes semper magnos esse et compressas^ ventres vero duros et tenues accalidos.. Au chapitre des maladies épidémiques saisonnières les plus communes, Bucquet signale en été la fièvre bilieuse (la typhoïde) ; — en automne la fièvre intermittente ; enfin, l'hiver réalise le maximum de mortalité annuel : au début, les cacochymes et les vieillards sont emportés par les premiers froids ; à la fin (quarante jours avant l'équinoxe vernal), font rage les affections pulmonaires aiguës, pleurésies et péripneumonies ; le printemps, heureusement, fait compensation : saluberrimum ver est. L'auteur remarqueque, dans la Mayenne, toutes ces pyrexies ont un caractère commun, la faiblesse des réactions organiques : chez des tempéraments asthéniques, la maladie avorte, demeure subaiguë, peu franche, et traîne ; les crises sont peu accusées, les sudorales en particulier, et la peau ne sert véritablement d'émonctoire que par les nombreuses variétés d'exanthèmes chroniques dont elle devient le siège. Bucquet en conclut que le thérapeute aura plutôt recours ici à la médication stimulante, car il y a plus à soutenir la nature qu'à la réfréner. Il termine son ouvrage en signalant la fâcheuse répercussion de l'incurie administrative sur un état sanitaire déjà peu brillant : des cimetières sont installés en pleine ville, en plein bourg, contre l'église; les cadavres enterrés trop près de la surface : ce sont là des foyers permanents d'infection. On voit, au coin des rues, des bourbiers, des eaux stagnantes, des dépotoirs immondes qui rivalisent de pestilence avec les tanneries et les abattoirs. Les vidanges sont déposées trop près des agglomérations, l'inspection des viandes est mal faite, Teau insalubre, sale, souillée encore par le rouissage du
Une énorme liasse de manuscrits a été consacrée par Bucquet à des études analogues, demeurées manuscrites : Ephémérides médicales de Laval, rapports, comptes-rendus au Conseil de santé des hôpitaux. Enfin il prend une grande part à la rédaction du rapport sur la situation sanitaire de la ville de Laval en 1812, dressé par le Conseil de salubrité dont il était alors secrétaire.
Climatologie médicale
En 1806, en 1807, en 1808, en 1809, il envoie à la Société de l'École de médecine de Paris un volumineux travail de statistique pathologique et nosométéorique. Toute sa vie, Bucquet s'applique à la nosographie. Le système utilisé par Bucquet est exposé dans un rapport de Philippe Pinel sur les observations de Bucquet, lu à la Société de médecine le , avec des conclusions d'éloges et d'encouragement où il indique que l'auteur a entièrement pris pour guide l'Annuaire météorologique que publie Lamarck. On voit par cette exposition succincte, indique Pinel, que le principal changement qu'il a introduit dans la méthode de décrire une constitution médicale tient à la considération de l'influence lunaire sur l'atmosphère terrestre et à celle de ses inégalités. M. le rapporteur pense qu'un pareil rapprochement donnera peut-être dans la suite quelques résultats ignorés.
Postérité
Un arrêté ministériel du le confirme dans ses fonctions de membre du jury médical du département que président Orfila et Pelletan, professeurs de la Faculté de Paris. Médecin en chef des hôpitaux de Laval, président du Conseil de santé des hôpitaux de cette ville, il est en 1840 dans les rangs de la commission du monument d'Ambroise Paré.
Le , une ordonnance royale le nomme conseiller municipal, mais il avait toujours décliné toute fonction politique et refuse. Le dernier portrait reproduit par Lucien Daniel dans sa Notice, date de la fin de sa vie.
Bucquet fait souche de médecins : son fils, le De Louis-Marie-Anatole Bucquet, et son petit-fils, le Dr Henri Bucquet, exercèrent à Laval. Une Place des Quatre-Docteurs-Bucquet existe à Laval.
Publications
- Tableaux élémentaires d'histoire naturelle pour servir aux leçons de l'École centrale de la Mayenne par le citoyen Bucquet, professeur ; à Laval, chez Portier, an IX et an X.
- Dissertation sur une maladie particulière des poumons présentée et soutenue à l'École de médecine de Paris en pluviôse an XI, Paris, an XI, 1803.
- Annuaire du département de la Mayenne pour l'an XII. Laval, an XII. Notes d'histoire naturelle. (Anonyme.)
- Topographie médicale de la ville de Laval et de son territoire (In Bulletin de la Soc. d'ét, scient. d'Angers. Angers, 1894), publiée par Lucien Daniel
- Rapport au Conseil de salubrité de la ville de Laval, 1812. (Anonyme.)
- Extrait d'une observation sur le galvanisme par M. Bucquet, médecin à Laval, associé correspondant. Bulletin de la Faculté de médecine de Paris et de la Société établie dans son sein, Ve série, an XIII, n° 12, t, I, p. 173. Paris, 1812
- Sur une luxation du genou en arrière. (Luxation en avant, des auteurs modernes. (Ibid., 1817, n**' 3 et 4, p. 318-352).
- Notice historique sur les hôpitaux de la ville de Laval, dans l' Annuaire du département de la Mayenne pour 1838.
Manuscrits
(En partie d'après Lucien Daniel)
- Cours d'histoire naturelle
- Ephémérides médicales de Laaval avec notes médicales (1811-1830), continuées par son fils jusqu'en 1860. Ce registre contient un grand nombre d'observations intéressantes avec résultats d'autopsie. (Bibliothèque municipale de Laval.)
- Observations météorologiques (1803-1815), en collaboration avec Michel-René Maupetit. (Bibliothèque municipale de Laval.)
- Relevé statistique de l'état-civil de la ville de Laval pendant 110 ans (1660-1830).
- Histoire médicale des années XII, XIII, du premier trimestre de l'an XIV et de l'an 1806; Mémoire sur les maladies ayant régné à Laval en 1806; Suite de l'histoire médicale de 1806; Histoire médicale de 1801. (Rapports communiqués à la Société de l'École de médecine de Paris en 1807 et 1808.)
- Rapport sur la mortalité dans la Mayenne. (Communiqué à la Société de l'École de médecine de Paris le .)
- Observation de diathèse cancéreuse chez l'enfant. (Envoyé à la Société de l'École de médecine de Paris le , lue le .)
- Notices historiques sur Ambroise Paré. (Complétées par son fils vers 1838-1840.)
- Documents pour servir à l'histoire de Laval.
- Documents relatifs aux hospices de Laval et spécialement à l'hôpital Saint-Julien. (Notes nombreuses.)
- Observation sur une altération morbide d'un ossaire, communication à la Société de l'École de médecine le 6 thermidor an XII.
- Rapport au préfet de la Mayenne sur la conscription de l'an XIV comme base de statistique médicale. Communication à la Société de l'École de médecine le .
Bibliographie
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
- Recherches historiques sur les botanistes mayennais et leurs travaux. M. Bucquet, par Lucien Daniel. Bulletin de la Société d'études scientifique
- « Jean-Baptiste-Denis Bucquet », dans Alphonse-Victor Angot et Ferdinand Gaugain, Dictionnaire historique, topographique et biographique de la Mayenne, Laval, Goupil, 1900-1910
- Paul Delaunay, Vieux médecins mayennais [1]